1. Ophélie en goguette : des vacances idéales


    Datte: 13/07/2018, Catégories: hh, vacances, bateau, BDSM / Fétichisme hféminisé, Transexuels hsodo, Auteur: Ophélie, Source: Revebebe

    ... sexuellement.
    
    Je demandai à Marc de m’aider à me retourner, tout en le gardant en moi. Il me fit pivoter sur son membre, et de mes jambes je le ceinturais pour pouvoir le maintenir bien au fond de moi. Il le fit d’un long mouvement, je soupirais d’aise en sentant ses belles couilles gonflées venir buter sur mes fesses. Je commençai à accélérer la cadence, j’allais de plus en plus vite pour le faire jouir en moi. Je voulais le sentir. Il s’agrippa à mes cuisses et commença lui aussi à augmenter la cadence.
    
    De l’extérieur, les personnes qui passaient à proximité de notre embarcation devaient sans aucun doute ne pas ignorer la cause du tangage du bateau ni des cris qui s’en échappaient, car je ne me retenais pas et je criais mon plaisir comme une folle, lui demandant de m’écarteler, de m’enculer plus fort, plus vite, ce qu’il se faisait un plaisir de faire tout en me traitant de grosse salope, de chienne en chaleur, de belle pute… et j’en passe. Je ne m’en offusquais pas, car, moi aussi, je le traitais de tous les noms dont le plus gentil était « beau salaud » !
    
    Soudain, il se crispa et je ressentis dans mes entrailles un liquide épais et chaud qui m’inondait. Avec une main il s’empara de mon petit bout qui bandait mollement et l’agita pour lui faire prendre un peu plus de contenance. Il commença à me branler tout en jouissant à grandes giclées que je ressentais en moi. Mon plaisir ne se fit pas attendre et je jouis dans sa main en une petite giclée qui s’étala sur ...
    ... mon ventre.
    
    Il s’allongea sur moi et je l’entourai de mes bras et de mes jambes, le remerciant de ce plaisir si intense qu’il m’avait donné. Je le sentais encore bien dressé en moi, et j’essayai de ne pas trop faire bouger mes sphincters de peur de l’éjecter.
    
    – Ça fait longtemps que je n’avais pas fait l’amour avec une telle intensité, me dit-il. C’est complètement incroyable comme tu te donnes ! Tu es toujours comme ça ?
    
    – Non, dis-je, c’est la première fois que j’ai une aussi belle queue en moi, et j’en ai profité pleinement ! Tu crois que tu peux remettre ça ?
    
    – Tu en redemandes ? Mais c’est avec plaisir ma chérie. Tu vas voir comment je vais te faire encore davantage crier cette fois.
    
    Je poussai un soupir d’aise.
    
    – Humm je m’en réjouis cher Monsieur, mais je demande à voir.
    
    Je n’avais pas terminé ma phrase qu’il me souleva les cuisses et commença à me pilonner comme un soudard. Je sentais ses couilles me frapper les fesses ; je voulais d’autres sensations. Je lui demandai de se mettre sur le dos et, mettant mes jambes de part et d’autre de son torse, je m’empalai à mon rythme sur ce pieu qui me perforait et que je sentais au plus profond de moi. J’alternai les passes rapides et plus lentes ; il me suppliait d’accélérer, de ne pas le faire trop languir ; mais moi, au contraire, je le voulais en moi le plus longtemps possible et continuais mon manège. Mes mains ne restaient pas inactives : je lui agaçais les tétons, lui labourais le torse de mes ongles. ...