Ophélie en goguette : des vacances idéales
Datte: 13/07/2018,
Catégories:
hh,
vacances,
bateau,
BDSM / Fétichisme
hféminisé,
Transexuels
hsodo,
Auteur: Ophélie, Source: Revebebe
... failli rentrer chez les hommes ; et avant le repas tu as déplié ta serviette et l’as placée sur tes jambes, ce que peu de femmes font. Cela m’a mis la puce à l’oreille, et quand tu m’as dit que tu ne voulais pas que je te coule, j’ai eu la confirmation que tu ne voulais pas que ta perruque, qui entre parenthèses est très bien et te va super, ne se mette à flotter autour de toi.
Il éclata de rire et je ne pus que l’imiter à cette pensée. Me tenant toujours bien serrée contre lui, il m’embrassa de nouveau, je lui rendis son baiser sans arrière-pensée cette fois, et en y mettant toute ma fougue, en m’appuyant encore plus fortement contre lui. Nos langues dansaient une sarabande effrénée dans nos bouches. Une éternité plus tard, je dus me forcer à tenter de l’éloigner, car je commençais à suffoquer. Il relâcha son étreinte tout en gardant un bras autour de mes hanches et sa main qui caressait souplement mes fesses. J’étais aux anges et lui souris. Il me proposa de retourner au bateau pour boire quelque chose, ce petit intermède lui ayant donné soif, et il me dit tout bas à l’oreille :
– J’ai encore plus soif de toi !
Et sans plus m’attendre, il plongea dans l’eau et d’un puissant crawl s’éloigna du rivage et prit pied sur son yacht. Je remis un peu d’ordre machinalement dans mon maillot ; mes prothèses, bien fixées et comprimées par le maillot, n’avaient pas bougé. Je tirai un peu sur l’élastique de l’entre-jambes, car, sans vouloir me l’avouer, j’avais eu un tout ...
... léger début d’érection et ne voulais pas que cela se voie trop vite.
L’eau du lac arrangerait cela. Je m’y glissai et, tranquillement, à petites brasses, regagnai le bord.
Il m’attendait avec ma serviette déployée dont il m’enveloppa pour me sécher. Je me laissai faire, c’était fait avec douceur et sans aucun geste particulièrement appuyé. Me laissant la serviette sur les épaules, il me prit par la main et, sans un mot, m’entraîna à l’intérieur, dans la chambre située à l’arrière. Là, il m’enlaça de nouveau et couvrit ma bouche de la sienne par un long baiser. Il me poussa lentement vers le lit où je m’allongeai, le recevant sur moi. Avec des gestes de douceur, il commença à me caresser les jambes, à remonter sur mes hanches et, arrivé sur mes épaules, faire glisser les bretelles de mon maillot. Je l’aidai à me l’enlever en cambrant les reins. Mes mains ne restaient pas inactives ; je lui caressai le dos, sentant les muscles jouer sous sa peau ; passai mes doigts dans ses cheveux encore humides et m’imprégnai de son odeur.
Je descendis mes mains sur ses hanches et les glissai à l’intérieur de son maillot, sur ses fesses qu’il avait bien rondes et fermes, et commençai à le lui descendre. Je m’aidai avec mes pieds pour le lui enlever tout à fait. Nous nous retrouvâmes nus, l’un contre l’autre, et il commença à me couvrir de baisers, caressant mes seins.
– Tu ressens quelque chose avec ça ? Tu ne préfères pas les enlever ?
– Oui… Non… lui répondis-je. Ils sont assez ...