La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1321)
Datte: 13/07/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... Monsieur le Marquis d’Evans, Maitre de Ses lieux. Nous allons prendre soins de toi.
Je sursautais un peu que l’on m’adresse la parole, surtout de cette manière, aussi aimable et emplie de considération et de gentillesse. J’avais toujours du mal pour ne pas sursauter quand je découvrais que quelqu’un était présent ou quand on me parlait. Cependant cette voix douce me réconfortait déjà. L’esclave Phryné MDE releva tendrement ma tête baissée avant de la caresser du revers de la main.
- On va d’abord te nettoyer un peu ici avant de te faire prendre un bon bain chaud et salvateur pour enfin finir par te soigner. Ensuite, tu pourras dormir autant que tu en auras besoin. Tu pourras aussi te sustenter autant que tu en auras envie. Le Maître nous a ordonné de s’occuper de toi comme si tu étais une véritable princesse…
J’en étais toute émue, peu habituée à ce genre de traitement… Elles m’aidèrent à mouvoir mon corps fatigué et endolorie quelques mètres plus loin, jusqu’à une zone carrelé qu’était une magnifique salle de bains attenante à la chambre et elles commencèrent à me placer sous une douche à l’Italienne et à me « racler » la couche collante de boue, d’urine et de sperme qui me recouvraient de la tête aux pieds. Sur mes cuisses, mon dos, mes épaules, à l’embouchure de mes trous … Sans un mot, mais avec toujours une délicatesse et douceur évidentes, elles me mirent même le carrelage en position de quadrupédie pour m’insérer une canule dans l’anus qui très vite se ...
... remplit, me distendant un peu le ventre. Elles passaient encore et encore leurs éponges imbibées d’eau chaude et de savon moussant à la très agréable senteur de rose, avec précautions sur les stries rouges qui me parsemaient, avec plus de vigueur ailleurs pour me décrasser efficacement et surtout pas pour me brusquer, tandis que je me faisais nettoyer de l’intérieur. J’aimais bien cette sensation, me faire remplir de la sorte, à chaque lavement je sentais tout ce liquide appuyer là où il fallait ce qui était un petit plaisir en soi, en plus de savoir que j’étais propre à nouveau.
Ce traitement me revigorait un peu et permis que l’envie de dormir me passa momentanément. Elles retirèrent la canule en m’intimant gentiment de me vider dans la bassine qu’elles venaient d’apporter. Je grimaçais. Le travail était long mais effectué avec efficacité. Quand elles passèrent à mon visage et mes cheveux, je me rendis compte que je puais atrocement. Elles commencèrent ainsi à me laver les cheveux sous la pomme de douche, et un champoing poussant au parfum de la lavande et elles me séchèrent les cheveux via des linges à l’éponge douce. Je réalisais le niveau de mon état crasseux en constatant la difficulté de leur proposer mes cheveux emmêlés et souillés : J’espérais simplement qu’ils n’étaient pas trop abimés. Ce n’était pas de la vanité, mais, c’était juste que Maitresse les aimait beaucoup… Je n’en fis cependant pas la réflexion, je n’avais sûrement pas l’autorisation de parler. Comme si ...