1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1321)


    Datte: 13/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Les Nuits de Sophie au Château – (Suite ) -
    
    Ce qui lui déclencha un sourire discret, mais que j’apercevais tout de même…
    
    - soumise Keira MDE ? … Que fais-tu là ?
    
    - Bonjour Madame, C’est le Maître qui m’exigea tôt ce matin de venir sans vous réveiller dans votre chambre et d’attendre ainsi agenouillée que vous vous réveillez et de rester à votre entière disposition pour être utilisée si telle est votre envie.
    
    - Ah ? Très bien, mais ne manquerais-tu pas à l’un de tes devoirs les plus primordiales ? Tu n’as pas à avoir un sourire aussi discret soit-il, lui dis-je de manière neutre et pourtant si expressive, ayant pris soins de lui rappeler son appellation complète, et de manière intrinsèque, sa condition. Elle à qui je n’avais jamais eu à redire et portant la marque MDE, une faute si élémentaire …
    
    - Je vous implore, Madame, de bien vouloir sanctionner cette conduite indigne d’une esclave MDE.
    
    - Je suis d’humeur magnanime, si tu réussis à me faire jouir, dans le temps que je t’offre à cette tâche, je te laisserais annoncer toi-même ta faute au Maître des lieux, dans le cas contraire je sévirais une première fois et annoncerais moi-même ton écart de conduite à Monsieur le Marquis. Tu n'as le droit qu'à ta bouche.
    
    Maintenant que je la fusillais du regard, elle s’en retournait à sa perfection et exécuta avec Maestria la tâche que je lui avais commandée. Sa langue experte était agile et savait donner du plaisir à une femme, c'était indéniable. C’était une bonne ...
    ... chienne aux qualités multiples, au dressage parfait, pensais-je en collant son visage contre mon entre-jambe et je ne tardais pas à lâcher ma jouissance via un orgasme fort, lui couvrant le visage de ma cyprine… Je lui exprimais mon contentement une fois sa tâche finit en lui tapotant le haut du crâne… Plus tard, durant le déjeuner avec Monsieur le Marquis, celui-ci m’observait, un sourire à peine caché sur ses lèvres, faisant certainement miroir d’un sourire niais que j’arborais moi-même. Nous nous apprécions mutuellement à cause de nos valeurs communes, de nos activités et bien sûr de notre appartenance au même monde, de nos pulsions de dominations partagées en toute franchise envers les esclaves. Avant de nous quitter pour l’après-midi, je lui lançais une petite pique amicale :
    
    - Monsieur le Marquis, si vous n’enlevez pas ce petit sourire un tantinet moqueur de votre visage, je vous le ferais passer, l’arme à la main dans un duel digne de vos glorieux aïeux !
    
    - Comment pouvez-vous penser un instant que Ma noble personne puisse se moquer de la vôtre ? … Et vous avez l’audace de me menacer dans Ma propre Demeure ? Me répliqua-t-il faussement indigné, car je ne doutais pas une seconde que ce défi, hautement amical, l’amusait et ne l’irritait point.
    
    - Je ne vous menace nullement Edouard, je vous fais une promesse ! Il éclata d’un petit rire qui lui était typique et propre à Son noble rang.
    
    - Alors soit ! Choisissez-vos armes !
    
    Notre différent se réglerait donc au ...
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