1. Être auprès d'elle


    Datte: 12/07/2018, Catégories: ff, fplusag, rousseurs, voisins, grosseins, groscul, poilu(e)s, odeurs, Oral 69, fgode, fdanus, Auteur: Careen, Source: Revebebe

    ... réveiller les ardeurs nocturnes de mon Yvan.
    
    Un peu mal à l’aise de par ses confidences et sa proximité, j’ai refermé la porte en poussant un petit gloussement d’adolescente, tandis qu’elle jetait une dernière œillade sur mes jambes.
    
    Le lendemain, Françoise est venue en avance. Je n’avais même pas eu le temps de me mettre à l’aise après le boulot, j’étais toujours en minijupe et talons, avec un petit top qui moulait ma poitrine de façon un peu indécente. C’est l’uniforme de charme de la vendeuse pour appâter le client indécis !
    
    Françoise était vêtue d’un tailleur beige qui rehaussait ses formes généreuses, et son chemisier noir s’ouvrait sur un décolleté carrément érotique : ses gros seins étaient prêts à sortir de leurs balcons au moindre mouvement brusque. C’est ce que les hommes grivois appellent une invitation au plaisir. Moi, je dois avouer que ça m’a fait beaucoup d’effet, et mon tempérament de coquine s’est doucement réveillé.
    
    Je me suis assise près d’elle pour lui présenter les différents catalogues de voyages. Mes yeux étaient braqués sur sa poitrine ; je me penchais régulièrement sur les pages de magazine pour humer son parfum, une odeur de pêche et d’épices venant directement de sa peau blanche. J’ai senti mon string s’humidifier lorsque son genou s’est collé à mes jambes. Je n’ai pas cherché à le retirer. Un bourdonnement s’est amplifié dans ma tête. Je n’écoutais plus ses remarques sur les circuits touristiques et les services proposés à bord des ...
    ... croisières, j’étais plongée dans un rêve érotique éveillé. Le contact de son genou s’accentuait progressivement, sa main caressait furtivement ma cuisse chaque fois qu’elle tournait une page. Bon sang, je fantasmais sur ma voisine de 47 ans. À cet instant, je voulais la voir nue, et sentir son corps contre le mien.
    
    Je me suis levée pour préparer du thé. Il me fallait absolument calmer mes envies.
    
    — Tu prends du sucre, Françoise ?
    — Oui, deux. Mais ne bouge pas, je vais le prendre, je le vois sur l’étagère au-dessus de toi.
    
    J’ai senti son parfum emplir mes narines à mesure qu’elle se rapprochait de moi, puis ses gros seins lourds se plaquer dans mon dos alors qu’elle se hissait sur la pointe des pieds pour attraper la boîte de sucre. Ces quelques secondes, anodines en apparence, ont été de trop. J’étais furieusement excitée. Je songeai déjà à son départ, et au moment où je calmerai mes sens avec mes sex-toys…
    
    Je me suis retournée vers elle, le service à thé posé sur un plateau entre mes mains. En me penchant sur la table basse du salon pour déposer le tout, j’ai tout de suite vu la jupe de son tailleur remontée à mi-cuisse. Je me suis sentie défaillir, surprise de voir le spectacle envoûtant de la couture à peine dissimulée de ses bas.
    
    La cuillère que je tenais est tombée sur le sol. Je me suis mise à genoux pour la ramasser, le regard toujours rivé sur ses cuisses. Brusquement, Françoise a écarté les jambes, dévoilant son sexe nu et fourni. Je n’en croyais pas mes ...
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