Être auprès d'elle - Histoires de Sexe

Être auprès d'elle

Bonjour à toutes et à tous, je m’appelle Careen. Je suis une jeune femme de 24 ans, je vis sur Bordeaux depuis deux ans maintenant, dans un petit appartement du quartier Saint-Pierre, dans le centre ville.

Je suis vendeuse dans une boutique de la rue Sainte-Catherine. Ça ne paie pas des masses, mais j’aime plus que tout le contact avec mes clientes et clients.

Je ne suis pas un canon de beauté au sens propre, néanmoins on me dit que j’ai du charme… Allez, je me décris pour vous. Je mesure 1,65 m environ pour 65 kg, je suis brune, avec des cheveux longs. Je suis une femme pulpeuse, comme on dit, avec des cuisses et des seins développés, un peu de ventre et un fessier un peu large. J’ai fait beaucoup de sport au lycée, alors je conserve tout de même une certaine fermeté, et mes seins ne sont pas totalement tombés sur mon nombril !

Françoise est ma voisine du dessus. C’est une femme de 47 ans, rousse, pulpeuse elle aussi. Elle vit avec son compagnon, et je dois dire que je n’ai pas à me plaindre d’elle. Jamais de bruits intempestifs, pas d’éclats de voix, ni de fêtes interminables en pleine semaine. De plus, elle est toujours souriante et bien attentionnée à mon égard. Il lui arrive de venir me rendre le courrier distribué par erreur dans sa boîte aux lettres, ou de me demander d’arroser ses plantes pendant ses vacances. Elle est gentille et joyeuse en somme.

Un soir, j’étais dans ma salle de bain en train de passer de la crème sur mon corps, après m’être épilée ...

... les jambes et le maillot, lorsque l’on a sonné à ma porte. J’ai vite passé un kimono en soie rose, des mules assorties et je suis allée ouvrir. Françoise se tenait sur le pas de ma porte.

— Bonsoir, Careen. J’ai un petit service à te demander, mais je peux repasser plus tard si tu veux, tu as l’air occupée…
— Non, c’est bon, je t’en prie, rentre, tu ne me déranges pas du tout.

Elle s’est installée sur mon clic-clac, pendant que je prenais place sur la chaise d’en face.

Françoise m’a regardé de haut en bas, et ses yeux verts sur mon corps ont provoqué un léger sentiment de gêne. Mon Dieu, il faisait subitement chaud dans la pièce ! Il y eut un petit blanc de quelques secondes, suffisamment long pour être remarqué en tout cas.

— Alors ? De quoi as-tu besoin ?
— Ah… heu… (Françoise sortait de sa rêverie) J’aimerais bien que tu m’aides à préparer une surprise pour Yvan. Il fête ses 52 ans dans un mois, et je voudrais lui offrir un voyage en Grèce. Je voulais savoir si tes parents ont toujours leur agence de voyages ?
— Mais oui, bien sûr, je leur demande ce qu’ils peuvent te proposer. Je t’amène un catalogue demain ?
— Non, ne passe pas à la maison. Je veux lui faire une surprise, je viens te voir ici plutôt. Après le boulot, vers 19 heures ?
— D’accord, 19 heures, c’est parfait !

Je me suis levée pour la raccompagner jusqu’à la porte, et lui faire la bise. Françoise s’est penchée sur mon cou.

— Ta crème sent vraiment très bon. Il me faudrait la même pour ...