1. Tapas en rut majeur


    Datte: 11/07/2018, Catégories: ff, hh, ffh, fbi, inconnu, copains, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, Oral 69, nopéné, jeu, init, délire, Humour sf, Auteur: Hidden Side, Source: Revebebe

    ... doucement sur ma cuisse, tandis que son souffle chaud me baigne l’oreille.
    
    — Tu as deux filles avec toi dans ce canapé. Y’a peut-être moyen que ça puisse te communiquer quelques frissons ?
    — Peut-être, dis-je, prenant sa main pour la poser ostensiblement sur le renflement de son jean, au niveau de sa motte. Mais… à toi l’honneur !
    
    J’adore le regard de défi qu’elle me lance. Avec un sourire mutin, Chloé défait les trois premiers boutons de son jean et glisse une main habile dans sa culotte. Au fur et à mesure que ses doigts s’activent, je vois son expression changer. Ce qu’elle perd en assurance, elle le gagne en concentration ; ses yeux sont clos, son souffle s’accélère, ses traits se tendent…
    
    D’une main légère, je caresse ses seins qui pointent joliment sous le tissu du chemisier. Elle me lance un regard chargé d’envies.
    
    — Ce que tu laisses deviner me plaît, mais… je suis aussi un brin voyeur.
    
    Sans un mot, Chloé glisse les pouces de part et d’autre de son jean et, soulevant les fesses du canapé, s’en débarrasse prestement. Sonshorty en coton imprimé exhibe une tache d’humidité assez éloquente. Pivotant pour me faire face, elle écarte largement le compas de ses cuisses et glisse à nouveau ses doigts sous ce bout de tissu, qui préserve encore un reste de pudeur. La jeune femme recommence alors à se caresser, cette fois pour le seul plaisir de mes yeux… Chloé a parfaitement saisi tout l’érotisme de la situation.
    
    Angélique, quant à elle, est statufiée. ...
    ... Tétanisée par la surprise, la mâchoire crispée, le regard perdu entre l’action à l’écran, devenue soudain insipide, et la table basse où Chloé a balancé son jean, ma timide collègue fait mine d’ignorer notre manège. Pourtant, son teint a viré au rouge brique.
    
    La pauvre est en train de se dire qu’elle va devoir encore s’asseoir sur sa frustration. Elle doit en avoir plein le cul !
    
    Un scénario audacieux se met en place dans mon esprit. Sans plus réfléchir, au risque de perdre le courage de me lancer, j’attrape la télécommande et mets le film en pause. L’image est gelée sur un plan large, où un colonel en tenue de nazi embroche un pauvre résistant à qui il vient d’infliger de longs sévices (des tortures sexuelles hautement jouissives, bien entendu).
    
    — Bon, les filles, parlons peu, parlons cul. Ça vous dirait de tirer un coup avec moi ?
    
    On ne fait pas mieux dans le genre pavé dans la mare. Après un moment de flottement où personne ne dit rien, j’en rajoute une louche.
    
    — Non, mais c’est bon, arrêtons les faux semblants ! Vous savez très bien que nous, les mecs, on est tous des salops. On attend que ça ! Alors ?
    — Euh, Julien, t’es sûr que ça va… ?
    — Je vais parfaitement bien, Angélique, lui assuré-je. Mais tout comme vous, j’ai des fantasmes que j’aimerais assouvir… Vous êtes aussi mignonnes l’une que l’autre, alors je me dis « pourquoi pas elles et pourquoi pas ce soir ? »
    
    Les deux filles se regardent en secouant la tête, incrédules. Je m’offre sans qu’elles n’aient ...
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