1. Marie, Paul (le mari), Alain (l'amant)


    Datte: 10/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alnicabe, Source: Hds

    ... : Mais tu es magnifique, tes seins sont superbes, tu es comme ça depuis quand ?
    
    Marie (avec un large sourire) : Depuis le début du repas, quand nous sommes sortis de la cuisine, toi et Paul vous étiez devant j’en ai profité.
    
    Alain : Et moi qui n’ai rien vu, ça t’a fait quoi ?
    
    Marie (se serrant contre lui) : J’ai mouillé toute la soirée.
    
    Alain (la faisant se retourner) : Cochonne, tu vas voir !
    
    Puis la faisant se pencher en avant, il relève la robe sur ses reins. Il sort son pénis tendu, le guide vers la grotte en feu, en le tenant dans une main. A peine à l’entrée, c’est Marie qui d’un geste brusque s’empale sur la bite. Elle est remplie, ils ne bougent pas, ils savourent ce moment où pour la première fois leurs deux sexes se rencontrent, se touchent, se pénètrent. Au bout d’une minute, il ressort lentement. Son gland est à la lisière des grandes lèvres. Il rentre, ressort, recommence ce va et vient. Il la tient par la taille, il va de plus ne plus fort, de plus en plus vite.
    
    Elle gémit, soupire fort. Ses bras posés sur le dossier d’un fauteuil, elle se cambre un maximum, pour qu’Alain puisse s’enfoncer au plus profond de sa chatte en feu.
    
    Alain ( la limant de plus ne plus fort) : Jouis, vas , tu aimes te faire défoncer hein tu aimes ! (criant presque) dis-le.
    
    Marie (en jouissant fort) : Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, j’adore ta bite, défonce moi, fort, fort, ouiiiiiiiiii ouiiiiiii , oooooooooooh oui, je mouille, c’est trop bon, trop bon.
    
    Puis elle tombe à ...
    ... genou. Alain qui n’a pas joui reprend son souffle. Elle se retourne, tombe nez à nez avec le pénis toujours tendu. Elle le gobe et le lèche lentement. Elle récupère sa mouille.
    
    Alain (la faisant se relever) : Viens-je ne veux pas jouir dans ta bouche mais dans ton sexe.
    
    Elle le suit sans rien dire, encore sonnée par son orgasme. Ils rentrent dans la salle à manger.
    
    Pendant qu’Alain se met nu. Elle remarque que Paul dort toujours et il est plus allongé sur son fauteuil.
    
    Alain (se couchant sur le canapé) : Viens te mettre sur moi, je veux pouvoir te caresser les seins, les embrasser, t’embrasser, ne t’occupe pas de lui, il dort bien, viens.
    
    Très lentement, elle vient enjamber Alain, s'assied sur les jambes de son voisin, elle passe la main entre leurs corps, et guide la tige vers son ventre, où elle s’enfonce une nouvelle fois, très progressivement. Ils sont les yeux dans les yeux, elle se penche en avant, leurs bouches se rencontrent, pour un baiser fougueux, où les langues et les salives se mélangent.
    
    Il voit, il sent ses seins lourds, sur sa poitrine, leurs lèvres se séparent.
    
    Marie, se relève, elle est assise sur le sexe d’Alain, qui est au plus profond de son intimité.
    
    Ils se regardent, elle prend appui sur la poitrine de son amant. Il lui caresse les dessous des seins, là où la peau est fine et soyeuse. Il remonte sur les côtés de ses mamelles, elle frissonne de plaisir, ses tétons pointent tout durs. Alain se redresse, et enfouit le visage entre ...