1. Marie, Paul (le mari), Alain (l'amant)


    Datte: 10/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alnicabe, Source: Hds

    Marie passa le reste de la journée, comme dans un rêve, à parler, rire, faire le service, entre son mari et son nouvel ami, elle ne voulait pas encore parler d’amant. Vers 16h, les deux hommes allèrent s’occuper de la branche tombée dans la propriété, pendant qu’elle s’occupait de ranger.
    
    Après quoi, elle alla s’allonger, pour se reposer, sur le canapé du salon de jardin. Il n’y avait pas un bruit. Elle se dit : ça fait du bien avec ce soleil encore fort !
    
    A l’instant où elle pensait fort, elle revit l’image du sexe de Alain, devant ses yeux. Elle se remémora, la taille et la chaleur de cette bite bien raide rentrant dans sa bouche. Son goût, sa douceur sur sa langue, c'était si nouveau.
    
    Cette évocation, lui donna une bouffée de chaleur. Elle sentit son ventre se contracter. Ne pouvant se retenir, elle écarta les cuisses, baissa sa culotte, commença par se caresser doucement.
    
    Lentement ses doigts descendaient le long de ses grandes lèvres. A l’entrée du vagin, elle sentit l’humidité. Elle remonta, pour venir titiller son petit bouton rose, déjà très sensible. Elle avait fermé les yeux, se mordait les lèvres. Ses doigts reglissèrent, le long du sexe, elle ne put résister à l’envie de se pénétrer.
    
    Son majeur, appuya légèrement, ses lèvres s’ouvrirent, elle sentit les muqueuses humides et chaudes. Elle enfonça son doigt au plus profond, dans le même temps elle appuyait la paume de sa main sur son pubis, et par un mouvement du poignet, se masturba en ...
    ... faisant des va et vient avec son doigt et en frottant son clitoris. Toujours en pensant au sexe de son voisin planté dans sa gorge.
    
    Elle partit tout à coup dans une jouissance intense, dans un râle de plaisir, elle détendit ses jambes qu’elle resserra très fort pour emprisonner sa main entre ses cuisses le plus longtemps possible. Après quelques minutes, elle sortit de sa torpeur, libéra sa main, qu’instinctivement, elle porta à sa bouche. Elle aimait bien, après le plaisir, lé-cher ses doigts et goûter sa mouille, ou du sperme, si un homme avait éjaculé en elle !
    
    Elle remit précipitamment de l’ordre dans sa tenue, car elle entendait Paul et Alain revenir.
    
    Elle voit les deux gars arriver, en riant, se racontant des histoires, comme de vieux copains de régiment.
    
    Marie : Alors cette branche ?
    
    Paul : Liquidée, il n’en reste que des fagots pour la cheminée. Alain une dernière bière ?
    
    Alain (regardant marie) : Non merci j’ai assez abusé de votre gentillesse.
    
    Paul : Non, reste, je vais sortir le barbecue, Marie qu’en penses-tu ?
    
    Marie : Si tu veux mais je ne fais rien, c’est vous qui travaillez les garçons.
    
    Paul : Ok ma chérie, je m’occupe de tout, reste dans ton canapé.
    
    Alain : Bien j’accepte, mais je vais quand même aller prendre une douche, car cette branche nous a bien fait transpirer.
    
    Paul : Vas-y, tout sera prêt quand tu reviendras.
    
    Après 30 minutes, quand Alain réapparaît, le feu est en route. Il voit Marie mettre la table dans la salle à ...
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