1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1027)


    Datte: 29/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... laissa là, sans un mot, sans explication… De là où j’étais j’entendais faiblement une horloge qui devait se trouver dans l’appartement, et je passais ainsi trois longues heures sans qu’absolument rien ne se passa. Il ne m’avait même pas exigé que je me déshabille.
    
    A 18 heures, il revint et déposa sur un tapis deux écuelles, et vint m’ouvrir la porte de la cage. Il dut m’aider à en sortir et il me fallut quelques minutes, pendant lesquelles, il joua de la badine sur mon corps, avant que je ne puisse déplier celui-ci et non sans douleur et grimaces, dues autant à la position gardée si longtemps et aux coups qui pleuvaient sur moi. Lorsque je pus bouger et que son poignet se fatigua, il me tira sur la laisse pour m’approcher des deux gamelles, remplies pour l’une d’eau, et pour l’autre de purée de carotte. Et tandis que je lapais le contenu des deux récipients, il se positionna derrière moi et rentra sa grosse queue bien tendue dans ma chatte offerte. Il me baisa avec force, m’obligeant parfois à arrêter de manger pour ne pas risquer d’en mettre partout ou de ...
    ... m’étouffer. Après avoir éjaculé, alors que je donnais les derniers coups de langue pour ôter toute trace de purée de la gamelle, il m’entraîna dans le coin opposé de la pièce. Un grand bac carrelé était posé au sol. Il me fit me dévêtir et m’aspergea avec un tuyau d’eau froide pour que je puisse enfin me nettoyer de mon après-midi cinéma porno. Ensuite, il me tira sans douceur jusqu’à un radiateur qui était éteint. Juste dessous était posée une couverture fine. Il m’attacha à l’appareil et me laissa jusqu’au lendemain matin.
    
    Je fus réveillée par un martinet dont les lanières me laissèrent de belles marbrures sur tout le corps. Comme la veille il m’avait apporté deux écuelles, me baisa longuement pendant que je mangeais en levrette, toujours sans un mot. Et tout aussi silencieusement, il me descendit en quadrupédie jusqu’à la porte de son établissement. Il tira sur la laisse vers le haut, enleva la laisse et le collier et me tendit un papier, avant d’ouvrir la porte et de me pousser à l’extérieur. Nouveau jour, nouvelle adresse, nouvelle aventure…
    
    (A suivre…) 
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