1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1027)


    Datte: 29/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... petits sursauts. Mais un coup de cravache sur ma chatte offerte, accompagné d’un « Chut ! » sec et froid me fit tenir tranquille, au prix de gros efforts. Après quelques minutes de cette douce torture, les mains baladeuses vinrent se concentrer sur mes seins généreux, les massant d’abord doucement puis de plus en plus forts, les pressant l’un contre l’autre. Puis elles s’attaquèrent à mes tétons qui ne pouvaient s’empêcher de pointer fièrement vers le plafond sous l’excitation profonde que je ressentais. Les mains faisaient des cercles tout autour de ses petits morceaux de chair érigés et sensibles, s’en rapprochant sans les toucher pour s’en éloigner de nouveau. Ce manège dura quelques minutes, jusqu’à ce que d’un coup, les mains fondirent sur eux comme un oiseau sur sa proie et les tordent douloureusement. Malgré la surprise qui me fit légèrement sursauter, je réussis à bloquer un cri qui faillit m’échapper. Puis elles les étirèrent vers le haut. Une main relâcha sa proie, attrapa quelque chose tout prêt, certainement sur une table de nuit. Je devinais vite ce que c’était lorsque je sentis la morsure des dents d’une pince se refermer dessus. Mais alors que le velours quittait ma peau, mon téton était toujours étiré vers le haut. La pince avait été attachée au crochet d’une corde qui descendait du plafond. Très vite mon deuxième sein subit le même traitement, puis vint le tour de mes grandes lèvres intimes qui furent également tirées vers le haut, mais également largement ...
    ... en diagonale afin de les écarter, pour offrir une meilleure vue sur ma chatte ainsi grande ouverte et suintante d’excitation.
    
    A la taille des mains, je pensais avec raison que c’était un homme qui était en train de s’occuper de moi. Il monta sur le lit et s’installa entre mes cuisses largement ouvertes. Je sentis le bout de son nez me caresser sur leur intérieur, sur toute la surface de mon pubis parfaitement épilé, pour finir par se glisser entre mes lèvres ouvertes pour y humer mon odeur de femelle en chaleur. Ensuite sa langue remplaça son nez. Une seule personne au monde m’avait déjà léché ainsi, sachant me mettre de suite au bord de l’orgasme, sans jamais me laisser y succomber, enchainant léchage et mordillement, du clito, des lèvres, des cuisses, buvant ma cyprine avec appétit. Mais je me dis que je devais être encore sous l’effet de la drogue, car c’était impossible qu’Il soit là, et de tels cunnilingus étaient de véritables cadeaux, des récompenses qu’Il n’accordait que très rarement. Mais ce ne pouvait être Lui. Comme de ces quelques jours à Paris dépendait mon retour au Château, je devais sûrement m’attendre à une série d’épreuves, et donc Il ne pouvait pas s’être déplacé juste pour moi. Et je savais que mon « parcours » n’était pas terminé puisque j’avais au moins une autre adresse à visiter.
    
    Après m’avoir laissé surexcitée par cette langue experte, l’homme quitta le lit, et je ne tardais pas à sentir les lanières d’un fouet me caresser le corps. C’était très ...
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