1. Nantes


    Datte: 10/07/2018, Catégories: fh, jeunes, prost, grossexe, pénétratio, init, historique, inithf, Auteur: Sarah, Source: Revebebe

    ... longtemps que la Marie serait en joie !
    — J’ai pensé que ça valait le coup d’essayer, estima Bastien.
    — Bon, je vais lui en parler. Mais c’est uniquement parce que t’es un bon gars et qu’elle te connaît bien.
    
    Babette monta à l’étage. Loïc la vit frapper à une porte, attendre une réponse puis entrer dans la pièce.
    
    — Qui c’est, cette Marie ? demanda-t-il à Bastien.
    — Ah ça y est, ça commence à t’intéresser ! La Marie est une belle fille, tu verras, tu vas t’amuser.
    — Oui, surtout toi ! ricana Ronan.
    — La ferme ! le coupa Bastien.
    — Pourquoi elle ne s’amuserait pas ? interrogea Loïc.
    — Crénom, tu pouvais pas te taire ? râla Bastien à l’encontre de Ronan. La Marie est très belle, mais elle a un problème qui la rend très triste, et nous on veut tout faire pour lui rendre son sourire. Alors, on cherche le gars qui saura la rendre heureuse. On a tous essayé, pas un n’y est parvenu.
    — À quoi ?
    — À la faire grimper aux rideaux, à lui faire prendre son pied ! À la faire gueuler comme une truie ! gueula Ronan. Cette pute n’a pas de plaisir et tous ces pauvres types s’échinent à vouloir la faire jouir. Quelle perte de temps, dit-il, ce n’est qu’une pute après tout, faite pour que les hommes la besognent et déchargent leur foutre !
    — Ferme ton clapet, bourrique, coupa Bastien, ou je te fais taire définitivement !
    
    Il dégaina son couteau et le pointa sous la gorge de Ronan. La taverne se tut d’un coup. Si Bastien perçait l’épaisse peau de l’effronté, la salle se ...
    ... transformerait en champ de bataille. Mais une voix claire brisa le silence et fit retomber la tension.
    
    — Laisse-le Bastien, tu vas salir le plancher si tu fais couler le sang de ce gros porc !
    
    Alors Loïc la vit. La Marie était assurément une belle femme. Une longue chevelure noire couvrait ses épaules nues, laissant entrevoir une peau mate. Ses yeux étaient du bleu que Loïc aimait, celui de la mer quand elle était calme et que le soleil la baignait doucement. Il s’était mis debout au moment où les choses allaient dégénérer et lorsqu’elle fut près de lui, il la dominait de trois têtes. Après avoir fait signe d’expulser le malpropre, elle leva vers Loïc ses beaux yeux et le dévisagea.
    
    — C’est donc toi, ce grand gaillard qu’on m’a conseillé de laisser tenter sa chance ? Tu m’as l’air bien jeune, quel âge as-tu ?
    — Dix-neuf ans, madame, répondit Loïc les yeux baissés non vers la Marie, mais directement vers le sol.
    — Madame ! s’esclaffa-t-elle. Tu es bien élevé en tout cas. Tu es sûr de toi ? demanda-t-elle en se tournant vers Bastien.
    — Non, la Marie, sûr de rien. Mais si ça ne marche pas pour toi, ça lui aura était utile.
    — Tu n’es qu’un mufle ! Mais je ne suis pas femme à laisser passer sa chance. Et puis si je peux apprendre quelque chose à un gentil garçon… Allons, viens, dit-elle en le prenant par la main.
    
    Dans la chambre, à l’étage, Loïc resta immobile, comme paralysé, tandis que la belle fille de joie se déshabillait. Nue, elle était encore plus déstabilisante pour ...
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