Prise au piège au Carré Blanc (1)
Datte: 09/07/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: tintinete, Source: Xstory
... debout d’un seul coup, surprise de ne pas voir le jeune et beau mec qu’elle espérait, nous en avions à peine parlé, je vois qu’elle le regrette maintenant.
Elle s’est réfugiée derrière la banquette, il reste environ un mètre contre le mur où elle est légèrement adossée, elle regarde le vieil arabe fixement, les bras le long du corps. Elle n’a pas le temps de faire le tour pour s’écarter, en trois pas, il est sur elle et lui prend un poignet, je vois bien qu’il ne veut pas la brusquer. Il lui caresse doucement le visage, elle penche un peu la tête en la tournant, la main descend le long de son cou et arrive sur les deux globes laiteux de ses seins, elle se raidit, quand d’un seul coup, il se colle contre elle et l’embrasse à pleine bouche, elle se débat un peu, mais je vois la langue du vieil Arabe lui rentrer dans la bouche voracement et je la vois mollir d’un seul coup pendant que je devine sa langue s’enrouler autour de la langue qui la fouille avec ardeur, Karine est folle de baisers et ne peut pas s’empêcher d’y répondre à son corps défendant. Il se décolle d’elle et la tire par le poignet qu’il n’a jamais lâché.
Elle résiste un peu, toujours mollement et vacillante sur ses talons aiguille, arrivé devant le grand sofa, il l’assied au milieu et la couche fermement sur le dos en plaquant une main rugueuse sur la poitrine, une main d’ouvrier maçon, avec des cal.
Il se redresse devant elle, je suis un peu sur le coté, pas un mot n’a été échangé, il pose sa veste, ...
... enlève ses chaussures sans se baisser, sa ceinture, son pantalon et il retire doucement son slip, il n’est pas pressé, il voit bien que sa proie est tétanisée, Karine ne bouge plus et le regarde fixement, elle tremble un peu. Il a sexe long et fin, un peu courbé, on sent qu’il est dur, sec, comme ses cuisses, il garde son fin pull roulé et ses fines chaussettes noires. Karine est toujours sur le dos, ses longs cheveux blonds de part et d’autre de son fin visage de madone, le pied droit repose à plat par terre, l’autre est là-bas moitié replié sur le sofa contre la banquette, il se penche et lui tire sa culotte rose doucement comme pour ne pas l’effrayer, j’ai l’impression qu’il bande de plus en plus, exactement comme moi, j’ai mon sexe dans la main.
Elle ne le regarde pas, elle regarde le plafond, il se couche doucement sur elle en se tenant du bras gauche, la main droite guide ce sexe d’une longueur incroyable, doucement contre sa fente, elle tremble de plus en plus. Je ne sais pas ce qui lui passe par la tête, il a au moins 20 ans de plus qu’elle et c’est un vieil ouvrier arabe qui s’enfonce brutalement de toute sa longueur dans sa fente que je sais humide. Il s’arrête, appuyé sur ses deux bras, elle a crié, il doit la sentir palpiter, et maintenant, il sait qu’elle est terriblement mouillée. Alors il s’écroule sur elle, lui force encore la bouche et se met à la défoncer, il n’a plus de précaution à prendre avec elle, elle ne peut plus lui échapper ; au bout de quelques ...