1. Prise au piège au Carré Blanc (1)


    Datte: 09/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: tintinete, Source: Xstory

    Et voilà, nous repartons pour une aventure ce samedi soir, encore un peu plus excités que les deux premières fois où nous avons sauté le pas, je raconterai ces deux premières, mais celle-ci est quand même plus excitante que toutes les autres fois. Je n’invente rien, si ce n’est obligatoirement les noms et les lieux, personne ne peut se reconnaître et il faut bien admettre que même si, à l’origine, nous étions un vieux couple marié très sage, toutes ces choses sont vraiment arrivées. Nous avions fait un truc ou deux dans des pornos lillois et Dunkerquois, très glauques tous les deux d’ailleurs, et c’est au Carré Blanc, à Lille, pas glauque du tout celui-là, que commence notre histoire. Qui ne pourra d’ailleurs jamais recommencer à cet endroit, le lieu ayant fermé...
    
    C’était la troisième fois que nous entrions dans ce genre d’endroit et nous fumes très surpris de la clarté, de la propreté et de l’ambiance. Je loue un film pour être tranquille dans une salle, pour ceux qui reconnaîtront, nous prenons la salle du fond.
    
    Je ferme la porte au verrou, je glisse le rideau sur le haut de la porte et je mets la cassette. Je suis au milieu de cette pièce, somme toute assez grande, Karine, ma femme depuis près de 30 ans est assisse au bord du grand canapé, elle est magnifique avec ses longs cheveux blonds qui lui tombent sur les épaules. Elle retire son chemisier et la jupe droite de son tailleur vert pastel, elle très BCBG, Karine, c’est le moins que l’on puisse dire. Elle se ...
    ... rassit sur le bord du coussin, ses longues jambes gainées de soie, avec de vrais bas couture, retenus par sa guêpière rouge en dentelle, tout ça m’a coûté un bras, mais quel ravissement. Elle a bien sûr gardé ses chaussures noires talons aiguilles ; elle est assise un peu comme Anémone Giscard D’Estaing, le faisait au bord de son fauteuil, les jambes jointes, un peu tournées sur le côté.
    
    Elle me regarde sans rien dire, l’air ailleurs, mais l’air est chargé d’effluves capiteux, elle adore se parfumer et l’ambiance est terriblement Electrique.
    
    Je marche doucement vers la porte, écarte le rideau et sursaute un peu, collé à la vôtre, il y a un arabe plus vieux que nous, une grosse moustache encore noire. On sent qu’il est décidé, il n’y a personne derrière, il a dû faire le vide, il a l’air gentil, mais dur à la fois, je ne sais pas quoi faire. Il est en costume noir, un peu chiné, avec un pull fin à col roulé dessous, il me regarde à travers la vitre, d’un air un peu suppliant, il a dû voir Karine entrer dans la salle, car je le sens impatient, d’un seul coup, je me dis qu’il n’a jamais fait l’amour à une Française aussi belle, elle a un air de Catherine Deneuve, un corps que je trouve sublime. Je regarde à nouveau, il a fait un pas en arrière, je tire le petit verrou et entrouvre la porte, il rentre doucement, mais fermement. Je referme la porte derrière lui...
    
    Il est au milieu de la pièce et n’en croit pas ses yeux, il doit déjà bander comme un cerf. Karine s’est mise ...
«123»