1. Un bien triste travail


    Datte: 09/07/2018, Catégories: fh, inconnu, bizarre, revede, pénétratio, tutu, conte, fantastiq, Auteur: Macapi, Source: Revebebe

    De Jean à Isabelle
    
    Tu es venue me visiter cette nuit, je le sais, je sens encore ta présence sur mon sexe. Pourtant je ne me rappelle de rien. Une partie de moi sait bien que c’est impossible. Tu es en vacances à Londres, loin, trop loin de moi. Mais je suis certain de ne pas me tromper. Mon corps sait qu’il t’a fait l’amour cette nuit.
    
    Oui, j’ai visité Jean la nuit dernière. Oui, je l’ai baisé. Parce que c’est le mot qu’il faut utiliser, puisque le plaisir n’était pas au rendez-vous pour moi. Il ne me connaît pas et pourtant, comme chaque fois, il a eu l’impression que sa copine était venue lui apporter ce plaisir intense. Il faut dire que j’avais bien choisi mon moment…
    
    Isabelle était partie en vacances depuis une semaine déjà et Jean ne s’était pas masturbé. Était-ce pour lui rester fidèle, même par la main ? Toujours est-il que ses bourses étaient pleines de sa semence, qu’il était temps pour moi d’effectuer cette opération délicate. Je suis venue un peu après minuit. Je me suis assuré qu’il dormait profondément. J’ai pu vérifier qu’il était effectivement nu sous les draps que j’ai relevés doucement. J’ai alors lentement soufflé sur sa verge et son érection n’a pas tardé à venir. Je me suis ensuite empalée en prenant bien soin de n’entrer en contact qu’avec son sexe et j’ai entamé les va-et-vient nécessaires pour sentir sa semence en moi. Ensuite, je n’ai plus eu qu’à retourner à mon atelier parachever mon ouvrage.
    
    De Pierre à Karine
    
    Karine chérie, j’ai ...
    ... senti ton corps sur le mien quand je dormais. Je crois que je rêvais, mais je n’en suis pas sûr. Tu n’as pas la clé, comment aurais-tu pu entrer chez moi ? En tout cas, je dois te dire que je me sens formidablement reposé ce matin. Même dans mes rêves, tu me fais du bien.
    
    Karine n’était pas si heureuse que ça en couple. Son copain Pierre ne désirait pas s’engager réellement. Elle avait beau essayer de lui en parler, il ne voulait rien savoir. Elle ne savait plus quoi faire, alors que moi…
    
    Je suis venue une nuit, certaine que Karine ne viendrait plus sonner à la porte de son amoureux. J’ai attendu longtemps que Pierre s’endorme. Je savais qu’il était du type couche-tard, mais je ne croyais pas devoir attendre jusqu’à trois heures du matin. Pour m’assurer qu’il dorme nu, j’avais monté le chauffage sans qu’il s’en aperçoive. Et lorsqu’enfin il est tombé dans les bras de Morphée, je piaffais d’impatience.
    
    Je n’ai pas eu à tirer le drap. Le beau Pierre avait bien trop chaud pour se couvrir. J’ai déposé quelques doux baisers sur sa poitrine en m’attardant sur ses tétons si sensibles. Il n’a pas tardé à bander et j’ai pu rapidement me positionner sur lui et le chevaucher langoureusement. Il gémissait et murmurait des paroles incohérentes d’où le nom de Karine ressortait parmi cinq ou six autres noms. Il avait effectivement besoin de moi pour le remettre dans le droit chemin.
    
    Sa jouissance a été rapide, je l’avais voulu ainsi. Il ne méritait pas que je m’occupe longuement de ...
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