Début de la vie commune avec Aline - Histoires de Sexe

Début de la vie commune avec Aline

... de mon ami la rendait intouchable et c’était ainsi que notre amitié a continué à se développer au fil des ans, les choses étant parfaitement claires entre nous trois.

Le soir après un bon resto tous les quatre, Aline et moi sommes rentrés chez nous. Nous nous étions mis dans le jardin pour profiter de la douceur de la nuit. J’étais bien et ne souhaitais qu’une chose, tenir ma chérie dans mes bras.

— Si tu savais comme je t’aime et comme je suis heureuse. Ce soir, j’ai envie de te donner du plaisir, alors laisse-toi faire.

Et elle descendit à niveau. Après l’avoir libéré, sa bouche prit possession de mon sexe et elle commença une longue fellation. J’étais au comble du bonheur. J’adorais cette caresse, surtout quand je voyais, comme ce soir, qu’elle avait très envie de me la faire. Soudain un mouvement attira mon attention. Derrière la fenêtre du voisin, j’avais vu un rideau bouger et manifestement quelqu’un nous observait. J’arrêtai Aline et la remontai vers moi. Je lui dis à l’oreille :

— On devrait rentrer, je suis sûr que quelqu’un nous regarde.

Paradoxalement, cela parut l’exciter encore plus.

— Pourquoi on se priverait de plaisir à cause d’un voyeur. Et puis si ça lui plaît de nous regarder, qu’il nous regarde !

Et après un long baiser, elle redescendit vers mon sexe qui s’était quelque peu détendu. Je vis un nouveau mouvement derrière la fenêtre. Cette fois-ci, j’en étais sûr, quelqu’un nous observait. Je le dis à Aline qui de nouveau me dit ...

... :

— Ne t’occupe-pas de lui et laisse-toi faire !

Sa bouche était tellement douce que je me laissai aller et fermai les yeux pour m’isoler de ce voyeur. Très vite, mon sexe reprit de la vigueur au grand contentement d’Aline. J’avais l’impression que de savoir que quelqu’un nous regardait, l’excitait encore plus et elle me suçait avec, à la fois une vigueur et une douceur, qui eurent très vite raison de moi et je me laissai aller dans sa bouche avec de nouveau ce plaisir, accentué par le fait que ce soit la femme que j’aimais et qui m’aimait, qui me le fasse. Dès que j’eus joui dans sa bouche, elle remonta et m’embrassa passionnément en me demandant :

— Ça ne t’a pas plus excité de savoir qu’un voyeur nous regardait ?
— Pas vraiment
— Moi si !

J’étais un peu surpris. Je découvrais une nouvelle facette de ma petite chérie.

— Ah bon !
— Oui, j’aime bien qu’on me regarde. C’est pour ça, l’autre fois, quand tu m’as dit que tu aimais me regarder me caresser, j’ai connu un plaisir d’autant plus grand que – pardonne-moi de parler de lui – Joël avait horreur que je fasse ça. Il disait que c’était une honte pour lui car ça voulait dire qu’il n’arrivait pas à me faire jouir.
— Il est bête ou quoi. Moi j’ai trouvé ça super excitant et en même temps…(Je me sentis un peu inquiet) tu ne vas te moquer de moi ?
— Non, va-y, dis-moi tout !
— J’ai trouvé qu’en plus d’être excitant, c’était à la fois une marque de grande confiance et une manière de te donner encore plus à ...