1. Début de la vie commune avec Aline


    Datte: 08/07/2018, Catégories: fh, couple, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, Auteur: Hardi7273, Source: Revebebe

    ... hors de question que je la dévoile.
    — Écoute, moi je trouve que tu as de jolies jambes. Et j’adore plonger mon regard dans un décolleté.
    
    Cela la fit sourire mais elle rajouta :
    
    — Toi, ce n’est pas pareil, tu es partial, tu me trouves jolie parce que tu m’aimes.
    — Ce n’est pas vrai, rappelle-toi le tout premier jour où tu m’as montré tes seins. Je t’ai dit tout de suite que je les trouvais magnifiques.
    — N’empêche, je n’en ai vraiment pas envie. Alors n’insiste-pas, s’il te plaît.
    
    J’abandonnai parce que je voyais vraiment que je la gênais. Nous avons quitté la boutique en saluant la vendeuse qui était venue nous demander si elle pouvait nous aider et avait entendu malgré elle la fin de notre conversation. Mais je ne pus m’empêcher de rajouter d’un ton déçu :
    
    — Bon, comme tu veux mais cela m’aurait fait vraiment plaisir que tu essaies, juste une fois pour voir comment tu te sentais.
    
    Elle ne dit rien. Nous sommes partis faire quelques courses auCarrefour. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, je repris très vite ma bonne humeur, le fait d’être avec elle et de lui donner des petits bisous ou lui tenir la main me remplissait de bonheur.
    
    Dès que nous avons rangé les affaires dans la voiture, elle m’a pris la main et m’a dit :
    
    — Viens !
    — Tu as oublié quelque chose ?
    — Non, j’ai bien vu que tu étais déçu tout à l’heure, mais tu es tellement gentil que tu n’as rien dit et que tu n’as même pas fait la gueule. Tu viens de me montrer à quel point tu ...
    ... m’aimais. Alors j’ai décidé de te faire un cadeau pour me faire pardonner.
    — Ce n’est pas la peine, ma chérie, j’ai bien compris que ça te gêne je n’aurais pas dû te le demander et je n’ai donc aucune raison de faire la gueule.
    — Viens je te dis, j’insiste pour te faire ce petit cadeau.
    
    Elle m’a alors ramené à la boutique où nous étions allés avant de faire les courses. Dès que nous fûmes entrés dans la boutique, elle s’adressa à la vendeuse qui nous avait reçus très rapidement et très gentiment tout à l’heure :
    
    — Bonjour, j’aimerais faire plaisir à mon ami en mettant une robe ou une jupe mais je n’aime pas trop mon corps, alors, je vous fais confiance pour me choisir quelque chose qui m’aille bien, moi je sais que je n’y arriverai pas.
    — Vous avez tort, vous avez un très joli corps et votre ami a bien raison, vous seriez très jolie en vous dévoilant un peu plus. Vous me faites confiance ?
    — Oui, je vous l’ai dit, conseillez-moi.
    — D’accord, mettez-vous un peu dans la cabine, là c’est bien. Maintenant pour m’aider à choisir, enlevez votre tee-shirt que je voie votre poitrine.
    — Quoi ?
    — Si vous voulez que je vous choisisse quelque chose de bien, il faut que je voie votre poitrine. Ne rougissez pas, je suis une femme, personne ne peut vous voir de la galerie et vous êtes avec votre ami, je suppose qu’il les a déjà vus, non ?
    
    Très hésitante, rougissante et gênée, Aline retira son tee-shirt et la vendeuse estimant ce qu’elle pourrait amener, revint quelques instants ...
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