1. Une tranche de vie 18


    Datte: 07/07/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Maceron, Source: Hds

    ... enfonçant un peu plus le doigt, quand Véro réagit « Arrêtes de promener ton doigt comme ça, tu n’as pas besoin de m’exciter, je le suis assez depuis ce matin après ton départ. Arrêtes, rentres, fais ce que tu as dit, fais moi jouir, je t’attends, remplis moi, dépêches toi, … » À la fin de son monologue j’enfonçais brutalement deux doigts dans sa chatte, ce qui entraîna un « Ooooohhhh , … OuiIIII » de satisfaction, puis je me mis à lui lécher la chatte, la pénétrer avec ma langue et j’ajoutais les doigts, variant les moyens de la prendre, bouche, langue, doigt et souvent doigts et langue, elle gémissait de plaisir et sa chatte qui au début était bien humide était maintenant noyée de son plaisir. « OUIIIIIIiiiiiii, …, continues, …..ne t’arrêtes pas, … je sens que ça vient, …. Tes doigts, … OUIIIiii, j’aime, … encore » et tout d’un coup elle se cambra, alors que mes trois doigts remplissaient son intimité et donnant des coups de reins, elle se mit à jouir « « OUIIIIIIiiiiiii, …, continues, rentres encore ….., je jouis, OHHHHhhhhhh, Oui, …, c’est bon , … OUIiiii, …» et elle se laissa tomber à plat dos sur la table et laissa pendre ses jambes. Après cet orgasme de qualité elle eut deus spasmes traduits par des « OHhhhh, … OHhhhh, « et se détendit. Tout cela était bien joli, mais si elle avait été satisfaite de mes prestations, je me tenais une trique intéressante et qui ne demandait qu’à servir et dont j’avais bien l’intention de me servir.
    
    Reprenant son souffle et ...
    ... retrouvant ses esprits, elle se redressa et toujours assise sur la table elle m’attira vers elle et sa bouche vint se coller contre la mienne pour un baiser chaud et prolongé.
    
    Le baiser terminé, sans attendre, je la prenais sous les genoux et la rebasculais sur la table, étant resté entre ses cuisses.
    
    Véro : « Qu’est-ce que tu fais ? »
    
    Mois : « J’ai une trique pas possible Je vais te sauter, je vais te baiser»
    
    Véro : « Oh non, tu m’as déjà épuisée, attends un peu »
    
    Moi : « Non, tu es encore toute chaude et la porte de ta caverne est grande ouverte, je vais y pénétrer »
    
    Je me présentais et me guidais vers et dans son fourreau chaud, détrempé de son plaisir et commençais mes va et vient, vue ma trique il fallait que je m’active rapidement si je voulais arriver à mes fins, c’est à dire la faire jouir une nouvelle fois et moi, m’éclater dans sa chatte. Au début elle encaissait mes coups de reins sans rien dire, puis peu à peu le souffle s’accéléra, puis de petits gémissements puis le plaisir commença à poindre d’autant que son fourreau était de plus en plus chaud et coulant enfin les soupirs et gémissements devinrent : « OUIIIIIIiiiiiii, …, continues, encore …..ne t’arrêtes pas, … je sens que ça vient, …. Baises moi, …, baises moi fort, ….» Quant à moi je sentais que la pression montait et que je ne pourrais pas tenir encore longtemps à ce rythme, mais je continuais mes va et vient de plus en plus durement et Véro encaissait et soudain n’y tenant plus Véro s’écria : ...