1. Une tranche de vie 18


    Datte: 07/07/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Maceron, Source: Hds

    Samedi 19 septembre 1981 Jean raconte
    
    Le samedi en général, nous étions de permanence à tour de rôle avec mon adjoint, ce qui en principe nous donnait une journée de liberté. En fait personnellement, je faisais toujours un tour des chantiers pour voir si tout tournait correctement et en général j’en profitais aussi pour faire la paperasse en retard. En allant au chantier, me rappelant ce que m’avait dit Véro le jour où j’avais acheté les appareils photo, qu’elle aimait savoir ce que nous ferions cela l’excitait, cela la rendait plus réceptrice mentalement et sexuellement, une idée, certainement idiote, me vint à l’esprit. Je faisais demi-tour et m’arrêtais au magasin. J’allais à l’accueil me présentais et demandais à vois Madame Vero. L’accueil me fit monter au secrétariat qui me reconnut et m’introduisit dans le bureau de Vero, qui était en train de travailler à son bureau et visiblement je dérangeais, mais le sens de la courtoise étant inné chez elle, elle me fit bonne figure, mais ne me sauta pas au cou.
    
    Elle était vêtue d’un corsage multicolor tirant sur les rouges, qui allait fort bien à son teint de blonde et d’une jupe droite d’un gris très clair et chaussée de sandales à talons
    
    « Bonjour Jean ça fait longtemps que tu ne m‘as pas donné signe de vie »
    
    Moi : « Je sais, mais j’ai du monter dans le Nord et comme tu sais j’utilise le week-end, c’est pour cela que j’ai voulu passer te voir et te faire une suggestion comme cela fait longtemps qu’on ne s’est pas ...
    ... mélangé »
    
    « Wouah, je t’écoute »
    
    « Partant du principe, comme tu me l’as dit, que tu aimes savoir ce que tu vas faire ou qu’on va te faire, je me plie à tes désirs. Je vais revenir à 11,00 heures, je montrais à ton bureau, tu seras nue sous tes affaires, la porte fermée, tu ouvriras ton corsage pour m’offrir tes seins, puis te relèveras ta jupe et assise sur la table les cuisses bien écartées tu m’offriras ta chatte dont la fourrure aura été retaillée très courte. Ainsi offerte je te sauterai et je te ferais grimper aux rideaux »
    
    Véro : « Ça va pas, non »
    
    Moi : À toute à l’heure ma belle et jolie salope » et je filais sans demander mon reste, me demandant quel serait le résultat de ce que je venais de faire, pariant qu’en revenant à 11,00 h à l’accueil on me dirait poliment que Madame Véro est occupée ou partie. Mais le coup de poker était au minimum amusant, si je perdais tut contact avec le ménage serait rompu.
    
    Je faisais ce que j’avais à faire avec mon adjoint sur le chantier et 11,00 h s’approcha vite.
    
    En fait à 11,00 h pile, je me présentais à l’accueil qui m’envoya au secrétariat. Qui appela Véro et lui demanda si elle pouvait me recevoir.
    
    « Faites le rentrer dans cinq minutes, je dois finir un document important »
    
    Espoir, ….On ne m’avait pas viré, …
    
    Les 5 minutes passées, le déclic de la porte se fit entendre et la secrétaire me dit d’entrer. J’entendis le déclic de la porte se refermant.
    
    Véro était à son bureau, la porte fermée, elle se ...
«1234»