1. Flora (5)


    Datte: 28/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Phantome, Source: Xstory

    ... je demande grâce.
    
    — Salaud ! Tu vois, tu me prends pour une pute ! Je ne te suffis déjà plus ! Il faut que tu me regardes baiser avec un autre pour t’exciter ?
    
    — Mais non, c’est pour toi, pour ton plaisir ! Pour satisfaire tes besoins de sexe, de jouissance. Avec un autre homme ou même une femme...
    
    Je réfléchi quelques secondes et avec un petit sourire qui en dit long et ma main qui caresse son sexe, je lui réponds.
    
    — Pour mon plaisir... ou pour le tien... Si c’est vraiment pour moi je penche plus pour une personne masculine, plus proche de ton âge que du mien. Pour le reste, je te laisse imaginer. Tu es très fort pour deviner mes envies et mes fantasmes.
    
    — J’ai un vieux copain, légèrement plus jeune que moi. Aussi pervers que moi, voir même plus. Son truc c’est le cul et les petits trous étroits de jeunes filles. Comme le tien. Si tu n’as pas peur de te faire bouffer la chatte par un goret et défoncer ta rondelle, je peux lui passer un coup de fil.
    
    — Après ce que tu m’as fait je n’ai plus peur de rien. J’ai même l’impression, non je suis sûre, que ça te plairait de me regarder en train de sucer une bite et me faire baiser par quelqu’un d’autre. Je te laisse faire vieux salaud. Tu sais bien que je ne peux rien te refuser.
    
    L’après-midi Paul m’appelle pour me dire.
    
    — J’ai appelé mon vieux copain Charles et on est invités à l’apéro. Ne met pas de slip. Je veux que tu l’excites un peu. Tel que je le connais, il te mettra la main au cul dès que j’aurai le ...
    ... dos tourné !
    
    Ben dis donc... t’as pas perdu de temps, vieux cochon ! Mais je te l’accorde, depuis que tu m’as proposé un trio sexuel, je ne pense qu’à ça, je sens que la soirée va être palpitante
    
    Avant de retrouver mon amant Paul, j’enfile une robe ultra-courte et lorsque nous arrivons chez le dénommé Charles, celui-ci a vite remarqué que je n’avais pas de slip.
    
    Faut dire que je l’ai chauffé à mort ! Et que je te croise les jambes, que je les décroise, en laissant mes cuisses un peu écartées.
    
    Quand je me penche pour prendre mon verre sur la table basse, je lui offre une vue imprenable sur ma poitrine et les yeux écarquillés, il bave de désirs avec un peu de salive au bord de ses lèvres.
    
    Je fais semblant d’aller aux toilettes pour entendre ce que ses deux vieux pervers vont se dire en mon absence.
    
    Charles dit à Paul que je suis une sacrée allumeuse, sexy au diable, qu’il a une envie folle de me sauter et qu’il bande comme jamais ! Sous-entendu, il lui demande carrément son accord pour baiser sa maîtresse.
    
    Paul lui répond que c’est son problème, que je suis majeure et vaccinée ! Et aussi que je suis une superbe salope accro au sexe.
    
    C’est au tour de Paul de sortir de la pièce et lorsqu’il est revenu quelques minutes plus tard, Charles m’embrassait les cuisses à genoux entre mes jambes !
    
    Faut dire que je n’ai opposé aucune résistance lorsque sa main s’est faufilée sous ma robe pour caresser ma cuisse nue.
    
    Je m’offre entièrement à sa lubricité. Je me ...
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