1. Flora (5)


    Datte: 28/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Phantome, Source: Xstory

    Le soir et dimanche matin nous avons encore fait l’amour, mais beaucoup plus tendrement que samedi. Paul m’a avoué qu’il était HS, les couilles complètement vides et que j’étais véritablement une belle petite salope, gourmande de sexe et insatiable. Il a entièrement raison car depuis qu’il est mon amant je ne pense qu’à ça.
    
    Pour preuve, ce lundi matin, je suis partie de très bonne heure pour le surprendre au lit et profiter encore de sa belle queue.
    
    Avec la clé qu’il m’a donnée, je me faufile discrètement jusqu’à sa chambre et, comme une couleuvre avale une souris, je gobe dans ma bouche son sexe à moitié bandé.
    
    Paul sursaute et à moitié réveillé il me dit.
    
    — Putain ! Je ne rêve pas ! C’est toi ma chérie.
    
    — Bien sûr que c’est moi ! T’attendais quelqu’un d’autre !
    
    — Non, mon amour. Ma queue dans une bouche de velours, avec une langue qui s’enroule autour et qui me la caresse d’une telle façon, je sais tout de suite à qui elle appartient.
    
    Ma tête commence à aller-venir sur son sexe et je réussis merveilleusement à avaler toute sa bite jusqu’à enfouir mon nez dans ses poils pubiens et la sucer profondément sans avoir l’air de reprendre ma respiration.
    
    Comme chaque fois que je l’ai en bouche, je me régale un petit moment mais son sexe explose et j’ai ma crème matinale en guise de petit-déj.
    
    J’avale chaque giclée de sperme chaud en enserrant bien de mes lèvres sa queue qui sursaute, pour bien la masser avec ma langue, afin d’extraire le plus de sperme ...
    ... possible de ses couilles à peine réveillées.
    
    Paul, sans bien s’en rendre compte, donne des coups de reins pour baiser ma bouche jusqu’à ce que son sperme et sa jouissance s’épuise.
    
    Je retire son pénis de ma bouche inondée, je relève ma tête et je viens près de son visage pour lui montrer ma bouche pleine de son sperme avant de déglutir mais, manque peut-être d’habitude, des traînées blanches et crémeuses de foutre dégoulinent de mes lèvres. Avec ma langue, je les récupère goulûment pour les avaler bruyamment en claquant ma langue. Pour finir, avec un de mes sourires salaces, je recueille d’un doigt quelques gouttes qui sont tombées sur mon menton et je masse la peau de mon visage comme si j’utilisais ma crème de beauté matinale.
    
    — Tu as un goût délicieux, pour un vieux !
    
    — Salope ! Tu veux une bonne fessée !
    
    — Tu sais bien que j’ai besoin de ma dose quotidienne de ton sperme dans ma bouche mon, pépé d’amour, ou autre part... sinon je suis en manque. D’ailleurs... aurais-tu une petite idée en tête pour pimenter nos relations sexuelles...
    
    Paul semble réfléchir et il me dit.
    
    — Vu ton besoin de sexe il va falloir que je sois inventif car je ne suis plus de la première jeunesse... tu devrais peut-être... prendre un amant plus jeune que moi.
    
    — Ah, non ! C’est toi que je veux !
    
    — Bon... avec moi... mais une deuxième bite ne serait pas superflue pour satisfaire ta boulimie de sexe ! On pourrait ajouter une troisième personne, non ? Pour prendre le relais si ...
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