1. Yann


    Datte: 07/07/2018, Catégories: fh, fbi, jeunes, inconnu, grossexe, grosseins, vacances, plage, bain, pénétratio, fsodo, jouet, attirautr, Auteur: Soyouz, Source: Revebebe

    ... se trahir. Sa main va-et-vient à toute allure sur la hampe rigide ; de l’autre main, elle masse doucement les couilles du jeune homme. Et celui-ci jouit rapidement, expulsant sous l’eau quatre ou cinq jets de sperme qui flottent dans une sorte de nuage entre les ventres des deux amants.
    
    — Tu vas pouvoir sortir, maintenant…
    — Ouah ! T’es trop forte !
    — Mais j’espère que tu vas bientôt retrouver un peu de forces…
    — Ne t’en fais pas pour ça, avec ton corps sous les yeux, ça devrait le faire…
    
    Julie sourit en pensant à la tête qu’il ferait si elle lui montrait vraiment son corps. Il l’invite à sortir de l’eau, maintenant qu’il est de nouveau présentable ; elle le suit sur la plage.
    
    — Tu as faim ? lui demande-t-il tandis qu’ils marchent dans les dernières vagues avant le rivage.
    
    Il ne lui laisse pas le temps de répondre et poursuit :
    
    — Je t’emmène sur une petite crique, en retrait, invisible depuis les endroits fréquentés. Si tu veux, on se prend un truc à grignoter et on va le manger là-bas ?
    
    Elle est touchée par le ton qu’il emploie pour lui proposer ça. Il est fou d’elle. Et pourtant il vient de jouir… C’est plutôt bon signe, se dit-elle.
    
    Ces jeux de séduction amoureuse lui font un bien incroyable. Elle essaie de ne pas le montrer, mais elle a une grande expérience sexuelle ; avec des hommes, des femmes, de tous âges ou presque… Mais ces moments de conquête, de drague, ces tentatives de charme, en particulier avec les jeunes de son âge, elle adore ; elle ...
    ... retrouve l’impression d’être quelqu’un de normal. Alors elle s’y prête avec plaisir, elle s’y épanouit aussi.
    
    — Oui, super !
    — Il y a un bar, là-haut, pas très loin, ils font des sandwiches sympas.
    — OK, je te suis.
    
    Et ainsi est fait. En allant acheter à dîner, ils discutent comme deux jeunes gens qui viennent de se rencontrer, un peu empressés, un peu maladroits. Mais ils se séduisent, mutuellement. Julie a oublié qu’elle n’est pas une fille comme les autres, et lui en pince pour elle, au-delà du physique, elle lui plaît vraiment. Ils marchent avec leurs sandwiches chauds le long de petites falaises jusqu’à un minuscule sentier qu’elle n’aurait pas trouvé toute seule et qui les conduit sur la crique dont a parlé le garçon.
    
    — Les jeunes viennent ici le soir et la nuit, pour être peinards. Mais je pense qu’on a une heure ou deux tranquilles.
    
    « C’est plus qu’il n’en faut… » se dit Julie. Tous deux s’assoient collés l’un à l’autre sur un rocher plat, tout au fond de la crique, au pied de la petite falaise qui la surplombe. Et ils mangent, et ils parlent. Ils parlent longtemps. Elle le trouve plus que simplement séduisant ; lui est en admiration devant elle, il ferait et dirait tout pour lui plaire. Elle a de plus en plus envie de lui.
    
    — Regarde le coucher de soleil.
    — Il est magnifique.
    — J’ai très envie de toi, Julie…
    — Moi aussi, Yann, mais…
    — Mais quoi ?
    — Non rien, attends…
    
    Elle retire son chemisier encore humide de leur baignade ; il s’approche tout ...
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