Franc
Datte: 06/07/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... comprendre, l’inciter à participer.
— J’apprécie beaucoup votre façon de procéder.
— Vous savez, j’aime bien prendre en main ce qui me plaît, ce que j’apprécie et j’aimerais pouvoir vous le prouver.
— Pourquoi n’essayez-vous pas ?
Pas de doute, c’est une invitation. Autant tenter ma chance. Il la regarde, s’approche d’elle. Elle ne dit rien, sourit, semble attendre une initiative masculine, inclinant légèrement la tête, les lèvres entrouvertes. Sa bouche se pose doucement, c’est elle qui colle son visage contre le sien, répond à son baiser, prend l’initiative. Les mains du mâle partent à la découverte sous la jupe, sans soulever la moindre protestation. Il presse le bassin contre le sien, faisant sentir combien il la désire.
Elle envoie la main en arrière, referme la porte, s’appuie contre. Franc comprend qu’elle espérait, attendait son initiative. Une main remonte et saisit un sein. L’étreinte se desserre un peu afin de lui faciliter la tâche. Les boutons cèdent facilement, les doigts glissent sous un bonnet emprisonnant la chair tiède. Rompant le baiser, elle écarte le vêtement, abaisse son soutien-gorge, libère sa poitrine, présente ses globes à la caresse. La bouche vient y goûter, léchant, suçant, mordillant, excitant les bourgeons. Les yeux fermés, la tête renversée, c’est l’offrande de tout un corps. Longtemps Franc poursuit sa besogne, émerveillé, tel un enfant, devant une friandise.
Pourtant, c’est insuffisant pour son désir et celui de sa partenaire. ...
... Elle lui appuie sur le crâne, le dirigeant vers une autre cible plus basse. Ses mains remontent le tissu de la jupe, présentant un nouvel objectif encore voilé. Une odeur enivrante monte, filtrée par ce nylon, obstacle à la bouche affamée. Les mains masculines impatientes abaissent la culotte qui glisse le long des cuisses. Une légère toison blonde ornemente la vallée embuée. La langue tente vainement de l’assécher, déclenchant au contraire une véritable inondation. Le bouton enfin trouvé n’arrête pas le déluge. Le suc glisse le long du menton. Un, deux, trois doigts essaient d’obturer la source, mais rien n’y fait. Un long gémissement, comme une alarme, vient confirmer l’orage.
Estimant que les moyens qu’il emploie sont trop modestes pour y parvenir, Franc se redresse et présente un bouchon d’un autre calibre. Malgré, ses dimensions il entre facilement dans le goulot, et les tentatives alternatives répétées pour mieux le mettre en place produisent un effet contraire, plus de liqueur, moins d’étanchéité. Dernière tentative, les jambes féminines viennent se nouer derrière les hanches, plaquant les bassins l’un contre l’autre. Les toisons s’emmêlent, épongent le trop-plein de liquide. Une plainte simultanée vient signaler la fin du mouvement, le plaisir réciproque.
L’étreinte a été brève, mais ce fut un grand moment de bonheur partagé. Les amants retrouvent la raison, réalisant soudain leur inconscience, l’enfant jouant dans la pièce voisine. Franc essaie de formuler son ...