1. Mon voisin est un gros porc et j'aime ça. (6)


    Datte: 05/07/2018, Catégories: Trash, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... Pauline, pas maman...
    
    — OK. Que JP...
    
    — Maman ?
    
    — Je reste... j’ai décidé de reprendre ma vie en main... comme toi ma chérie... JP m’a ouvert à des choses que je ne connaissais pas. Je veux en profiter jusqu’à demain.
    
    — OK, je vous laisse.
    
    Je rentrai chez moi sûre que toute la nuit ou le lendemain matin, JP forniquerait avec ma mère et ma copine.
    
    Que faire ?
    
    Seule, sous la douche, je ne pus m’empêcher de revivre le plaisir intense de cette soirée avant la catastrophe que représentait la "trahison" de JP et de maman.
    
    J’avais envie de baiser encore. Il était 23 H 30. Je voulais un homme... Baobab... si seulement Baobab était là. Mais je n’avais pas ses coordonnées. Kev peut-être ? Je pris son téléphone.
    
    — Kev ?
    
    — Rapha ? Rapha, c’est toi ? Qu’est-ce que tu veux ?
    
    — Tu sais comment contacter Baobab ?
    
    — J’suis avec lui là !
    
    — Ah, dis-je déçue. Qu’est-ce que vous faites ?
    
    Ce fut Baobab qui répondit.
    
    — Salut ma belle, qu’est-ce je peux faire pour toi ? Un bon coup de bite ?
    
    — Si tu avais été libre...
    
    — Là non, on a rencard à" l’abattoir". Encore que...
    
    L’abattoir est une boîte échangiste. Baobab reprit :
    
    — J’ai rendez-vous pour un plan cul avec un jeune couple, reprit-il. Je vais me taper la meuf pendant que le mec va se taper ma petite pute... hein mon Kev ! Tu peux venir Rapha si tu veux ? Hein ? Tu nous rejoins ? Y a toujours plus d’hommes que de femmes.
    
    — J’arrive.
    
    Une demi-heure plus tard j’étais nue dans le ...
    ... vestiaire. Je partis à la recherche du quatuor et les trouvai rapidement au son de la grosse voix de Baobab qui donnait du plaisir à une femme. Il m’ouvrit. Kévin était à quatre pattes en train de se faire sodomiser par le mari, pendant que la femme attendait le retour de Baobab. Ses cuisses étaient ouvertes, la cave dilatée.
    
    — Bouffe-lui la chatte, j’vais te casser le cul.
    
    La fille était jeune et chaude. Quand Baobab nous eut ramoné toutes les deux et qu’il eut vidé ses couilles, il laissa les deux garçons entre eux et nous conduisit à travers les couloirs.
    
    — Qui veut baiser mes deux putes ?
    
    Nous fûmes assaillies de mâles de tous les âges et de toutes les tailles bites bien dardées.
    
    Un gars se mit à genoux pour me bouffer la moule, un autre me pelotait les seins tandis que Baobab me glissait à l’oreille :
    
    — Pourquoi t’es pas venue avec JP ?
    
    — Il est chez lui à baiser ma mère et ma copine.
    
    — Ta mère et ta copine ? Hmmm... On les rejoint ?
    
    — Euh ?
    
    — Ça ferme dans une heure et demie ici. On file chez toi...
    
    — Ils dormiront peut-être.
    
    — Pas grave, on attendra demain matin.
    
    — Tous les trois ?
    
    — Tous les cinq !
    
    Les deux mecs qui s’occupaient de moi me chauffaient tellement que je n’eus d’autre volonté que le plaisir. Le souvenir de ces deux hommes sur moi en même temps, JP et Baobab... Je dis "oui".
    
    L’homme qui me mangeait la chatte se mit debout contre moi et me pénétra par-devant. Celui qui me caressait se planta derrière moi et m’ouvrit ...