1. Le fruit défendu...


    Datte: 05/07/2018, Catégories: ff, toilettes, volupté, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation tutu, ecriv_f, Auteur: Femme, Source: Revebebe

    ... les comprendre non plus.
    
    Je t’ai dit que j’avais un petit besoin pressant et me suis levée. Pour me rendre aux sanitaires, je devais passer près notre future victime, celle que tu avais choisie. Je te tournais le dos, tu ne voyais donc pas mon visage, ni ses expressions. Je ne te dévoilerai donc pas mon secret.
    
    J’avoue que je ne savais pas si elle serait réceptive au désir que je lui ai témoigné en cette fraction de seconde, mais tu ne peux imaginer ma joie, quand Patricia m’a rejointe au « Ladies’ Room ».
    
    En effet, elle s’appelle Patricia.
    
    J’étais face au lavabo, je me caressais timidement le bas-ventre, lorsqu’elle a poussé la porte. Elle l’a soigneusement refermée avant de s’approcher. Je me suis présentée, elle a juste répondu :
    
    « Moi c’est Patricia ».
    
    Mes yeux trahissaient mon désir d’elle. Je la trouvais si belle, elle sentait tellement bon, son grain de peau était si fin ! Ma main hésitante lui a d’abord effleuré l’épaule, je voulais lui faire l’amour tout en douceur, tout en lenteur. Malheureusement le lieu était mal choisi, mais il était propice à une première rencontre, à une découverte qui serait à nous, rien qu’à nous, et dont nous pourrions narrer seulement ce que nous voudrions, tout en gardant nos secrets.
    
    En l’occurrence, Patricia partageait mon désir, mes envies, mais alors que je pensais avoir peut-être débauché une demoiselle pour l’entraîner dans nos jeux nocturnes, je pris conscience que la victime n’était autre qu’une grande ...
    ... adepte de ces mêmes jeux.
    
    En effet, alors que je comptais la guider vers le bonheur que je souhaitais tant lui donner, à ma manière, c’est elle qui pris les devants, les initiatives. Je rêvais de découvrir son sexe moite, la rondeur de sa poitrine que je devinais ferme, je voulais la caresser, la goûter aussi, pourtant c’est elle qui déboutonna mon chemisier, et qui sortit mes seins de leurs balconnets respectifs. Surprise et, me délectant de son regard si suggestif, je me laissai faire, à sa guise, tout en pensant à toi.
    
    Elle ne les caressa pas. Mes seins étaient offerts, pointus comme jamais, mais elle ne les toucha pas.
    
    J’essayai d’approcher mon visage du sien, ma bouche cherchant la sienne, elle s’écarta doucement, sans me quitter des yeux, toujours ce délicieux sourire coquin sur les lèvres.
    
    Elle posa ses mains sur mes cuisses, les fit lentement, extrêmement lentement, glisser vers mes hanches, relevant ainsi ma jupe, jusqu’à la taille. Nous ne nous quittions pas du regard. Elle attrapa entre pouce et index, mon petit string qu’elle roula jusqu’à mes chevilles. J’en relevai une, puis l’autre, pour qu’elle retirât ce bout de tissu qui m’empêchait d’écarter les cuisses.
    
    Je bouillonnais, mon sexe était terriblement mouillé, je la désirais, et je voulais sa bouche pulpeuse sur ma chatte, ses doigts fouilleurs, sa langue aussi. Je voulais manger sa poitrine, boire de sa fontaine, goûter le nectar de son fruit, j’attendais ses caresses.
    
    Elle ne m’en prodigua ...