1. Le Congrès - Partie 09


    Datte: 28/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: byVerdu, Source: Literotica

    ... comprends alors ce qu'elles vont subir et je me revois avec Barbara quand les chiens sont venus nous tourner autour et nous violer. Cette fois-ci, il ne les bâillonne pas.
    
    — Noooon! Pitié! Pas cela! hurle la blonde en voyant les animaux s'approcher et tourner autour d'elle.
    
    L'autre semble résignée et ne réagit pas quand un chien lui donne un coup de langue sur les fesses. Devant sa passivité, il la monte aussitôt. La saillie brutale est rapide et après avoir joui, l'animal se retire et va se lécher dans un coin.
    
    Quinze qui a tout vu est hystérique. Elle hurle et se débat dans ses entraves. Je sais que cela ne changera rien et qu'elle va aussi devoir subir l'humiliation suprême de ce viol bestial.
    
    Deux mâles lui tournent autour, l'un d'eux vient lui lécher le visage. Surprise et choquée, elle se tait et s'immobilise. L'autre bête en profite alors pour la monter et comme pour seize, il éjacule dans son ventre.
    
    Léa est venue derrière moi pour me tenir la tête pour me forcer à regarder cela puis excitée par ce qu'elle voit, elle me demande de la faire jouir avec sa ...
    ... bouche.
    
    Je ne vois plus que sa chatte gonflée de désirs et je sors ma langue. Je la lèche comme je sais qu'elle aime que je le lui fasse et je joue avec son clitoris. J'enfonce ma langue entre ses lèvres et fouille son intimité. Elle me plaque la tête contre son sexe et se frotte contre mon nez. J'entends les pleurs et les cris de quinze et seize. Ces hurlements excitent Léa qui finit par jouir sur mon visage et me libère.
    
    Je peux de nouveau voir mes futures compagnes entourées de ces animaux déchaînés.
    
    Quand les quatre mâles ont joui, Monsieur Moreau redit les paroles qu'il avait prononcées à notre arrivée.
    
    -Pour que vous n'ayez pas trop peur cette nuit, je vais laisser la lumière allumée... Et vous aurez aussi de la compagnie.
    
    Sans un mot, les geôliers me soulèvent par les bras pour me relever et après m'avoir remis la laisse à mon anneau nasal, ils me reconduisent à ma chambre dans un état de sidération total.
    
    Je m'effondre sur mon lit en larmes. Je viens de participer à cette opération de déshumanisation et je n'arrête pas de penser à Barbara et au monstre qu'elle est devenue. 
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