1. Mon soleil africain


    Datte: 03/07/2018, Catégories: Anal Sexe Interracial Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... de la conversation. Sa carcasse respirait le calme. Ce géant était la douceur même. Je n'en écarquillais pas moins les yeux à l'endroit de son sexe que Julot m'avait prédit énorme. J'avoue que je n'en dédaignais guère la grosseur. Cela entrait dans certains de mes critères. Je n'en demeurais pas moins nue devant cet homme l’excitant à mesure. Au bout d'un jour j'obtins qu'il me passât un peu de crème solaire partout dont les fesses. Il pouvait appréhender à bon droit la fermeté des chairs. Je le voulais convaincre que j'étais plus qu'une promesse.
    
    Trop excitée à un moment, je piquais une tête dans la piscine. Julot devait nous observer de loin. J’escomptais que celui-ci bandât et se branlât pour moi. Une après-midi enfin et n'y tenant après qu'il eût encore maculé d'huile mes fesses, je portais la main au sexe de mon chéri Keita. Celui-ci était dur et énorme à travers le bermuda. Tout cela parut si naturel. Il ne broncha pas. Nous en étions venus à un tel état d'intimité. Je dirigeais mon regard vers un coin du jardin à l'ombre où nombre d'amants m'avaient déjà sauté. Je me levais tournant la tête afin de m’assurer qu'il me suivit.
    
    J'étais assuré qu'on ne vous vit hormis Julot de son jardin. Là je délestais Keita de son frêle bermuda. Je libérais, le monstre, le dragon. Une queue dont je n'eus osé rêver même dans mes rêves les plus fous. Je le branlais et eu scrupule à porter cela dans ma bouche mais ses caresses dans mes cheveux m'encouragèrent. Je pourléchais ce ...
    ... gland puissant. De même je lui léchais l’une l'autre couilles. Sa queue était plus exacerbée que jamais. Bientôt je tins à l'engloutir en ma bouche jusqu'à son premier tiers. J'ai toujours adoré sucer. J’avais envie ici de m'y surpasser.
    
    Ses mains portées par le désir parcouraient tout mon corps. Tel un fétu de paille il me porta sur un coin de pelouse et m'installa à quatre pattes. Il s’enquit de me pénétrer en levrette dans la chatte hâve et baveuse. Les portes de mon temple étaient tout ouvertes. Pouvait-on se refuser à un dieu ?
    
    Il mit du temps à m'investir. Je lui su gré de cette délicatesse initiale. Il allait engouffrer son sexe énorme. J'en fus emplie bientôt. Un long travail de sape commença. Bouche ouverte en cet été si chaud je recherchais au loin quelque respiration. Le soc de la charrue tourmentait le sillon.
    
    Julot devait au loin se repaître de ce spectacle. Devinât-il le moment où mon amant noir s'employa à me sodomiser après que je l'en eus prié. Il me représentât la douleur et l'incommodité que j'en pourrais ressentir. D'un ton vulgaire je le pressais et ajoutais : »Ne fais pas tant de manières. J'aime qu'on m'encule ! » Il fit montre d'autant de douceur que de dextérité. Il entra peu à peu. Mon cul bien qu'exercé à être pourfendu devait être ménagé. Sa bite entra quand même au deux tiers avant d'imprimer le va-et-vient souhaité. Il me défonçait à présent. J'adorais parvenant jusqu’au ciel.
    
    Il ne fut pas peu étonné que je subis et supportât cet outrage ...