1. Mon soleil africain


    Datte: 03/07/2018, Catégories: Anal Sexe Interracial Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... Julot. Il peut se targuer d'être mon plus vieil amant. Il nous accueillit lorsque nous avions aménagé ici il y a dix ans. Il nous avait aplani nombre de difficultés. Il est patent que je lui avais tapé dans l’œil. Sa femme m'a toujours fait la gueule. Cela n'a fait que renforcer mon vice pour lui. Je n'aime rien tant qu'humilier ce genre de femme. Bref au bout d'un mois il m’attrapa au fond de son garage. Ancien de la légion il me loua affirmant qu'il n'avait connu depuis longtemps une pareille garce. Je fis en sorte de ne jamais décevoir ce premier engouement.
    
    Julot était devenu un grand copain du mari. Celui-ci le subodorait mon amant. Cependant il lui avait comme délégué le souci de me protéger de moi-même. Il me dit un jour avec la plus grande solennité : »Avec Julot en mon absence je te sais en bonnes mains. » Il est vrai qu'une telle proximité me rassurait. Il n’hésitait pas à jouer des poings si un type se faisait collant et s'autorisait même une scène. Je me sentais redevable. Il avait tout loisir l'été de papoter avec moi au-dessus la barrière tandis que je m'exhibais nue sur mon transat. Mon corps lui appartenait en quelque sorte.
    
    Je savais le chagriner lorsqu'il me surprenait en un coin du jardin avec un homme. Je n’avais cure qu'on me surprit en un coït jouissant ostensiblement. En fait je savais que cela l’excitait. Il m'en désirait d'autant. Il était du genre à me faire une scène. Il arguait que je manquais de respect à mon mari m'affichant en salope au ...
    ... su de tous. Pour me faire pardonner je lui caressais la bosse se dessinant en son pantalon. Puis dans le garage, je le branlais puis le suçais. Cela finissait souvent par une furieuse sodomie. J’exultais sous ses coups de boutoir. J'adorais être punie ainsi.
    
    Aussi ne fus-je pas peu intriguée de lui découvrir un ami nègre, Keita, un copain de régiment. Celui-ci était beau, musclé tout noir d'ébène. Cela vous procurait comme un frisson. Les hommes de couleur me demeuraient un fantasme. J'en rêvais en secret. Je n'avais jamais franchi le Rubicond. Il était patent que je ne laissais indifférent ce beau Keita. Mon goût en fut augmentée par l'aveu de mon ami Julot que sa femme des fois obtenait les faveurs dudit nègre. Je ne pensais pas que cette pécore sacrifiait aux joies du sexe et ce avec ce genre de mâle. J'en fus un peu mortifiée et jalouse.
    
    Julot eût le tact de laisser courir l'affaire. Il faut savoir à cet égard que mon mari marquait un certain racisme à l'égard de tout basané et notre bon Julot ne trouvait pas mauvais de lui jouer ce mauvais tour. Moi-même je trouvais troublant qu'un amant put être un de ces nègres que mon conjoint prenait de si haut. J'imaginais par trop son incrédule fureur s'il venait à appendre ce péché. Je voyais cependant qu'on lui rapporterait que certaines après-midis on m'avait vu souffrir la compagnie de ce nègre. Bref on jaserait. Je n'y couperais pas. Il faudrait m'expliquer. Tout cela m'excitait.
    
    Keita était tous sauf un sot. Il avait ...