Je vais quitter mon mari
Datte: 02/07/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
Oral
pénétratio,
fsodo,
extraconj,
Auteur: Sandro, Source: Revebebe
... aussi ? Elle répondit instantanément à mes sollicitations. Sa poitrine était plutôt menue, mais elle aimait que je la touche, que je la malaxe, que je la lèche…
Elle s’offrit à nouveau entièrement ; et dès qu’elle se fut assurée que j’étais prêt, elle exprima son désir sans détour en me tendant la croupe. «Baise-moi ! » s’exclama-t-elle d’une voix rendue rauque par l’excitation. Alors je la pris comme elle le demandait. Presque sauvagement. Elle gémissait, soufflait bruyamment, m’encourageait par des mots crus qu’elle n’utilisait que très rarement. Elle exigeait que je la pénètre à fond, que je la bourre, que je la fasse jouir, gueuler…
Nos peaux luisaient de sueur, nos cheveux nous collaient au front, la mouille coulait partout, maculant les draps. Binky en demandait toujours plus, et c’est elle-même qui dirigea mon gland vers une entrée qu’elle ne m’avait qu’exceptionnellement offerte lors de nos précédents ébats. «Prends-moi là », fit-elle. «Encule-moi ».
— Tu… tu veux ?
— Oui ! dit-elle avec force. Prends-moi ! Baise-moi !
Je procédai néanmoins sans brutalité, laissant Binky mener la pénétration au rythme qu’elle souhaitait. Nous roulâmes sur le lit, moi derrière, elle devant, et par petits mouvements mon sexe disparut entièrement dans son fondement. Lorsque ses muscles se relâchèrent petit à petit, Binky leva la jambe et je lui saisis la cuisse pendant qu’elle amorçait les va-et-vient. Je ne voulais pas lui faire de mal, mais elle m’encourageait :
— ...
... Bourre-moi ! Vas-y !
— Oui, soufflai-je.
— Bourre-moi à fond. Remplis-moi.
Elle marqua la cadence et je suivis. Elle devait souffrir, sans doute, mais n’en laissait rien paraître. Lorsque je me vidai en elle, elle tourna la tête, radieuse, pour m’offrir son sourire et ses lèvres.
Un peu plus tard, apaisés, nous nous serrâmes sous la douche, nous embrassant et nous savonnant dans de grands éclats de rire. Pendant que je lui séchais le dos, je songeai que je n’avais pas encore abordé le sujet le plus préoccupant. Il était pourtant urgent de le faire. Je percevais le danger de garder pour maîtresse une femme à présent libre. Notre accouplement avait été long, sauvage, brûlant et presque désespéré. Il avait comme un goût d’adieu, mais je savais que pour mon amante il n’en était rien. Binky devait avoir compris mes intentions. Elle s’était offerte comme jamais, souriante, heureuse. Elle voulait s’accrocher à notre relation. Me convaincre que la vie sans elle ne serait pas possible.
Nous nous habillâmes pendant que passait le café, puis nous assîmes l’un près de l’autre, dans la petite cuisine, en grillant une cigarette. Le jus était noir, fort, brûlant lorsque j’y trempai les lèvres.
Binky me sourit.
— C’était formidable, Sandro.
— Oui…
Elle fronça les sourcils.
— Tu n’as pas aimé ?
— Bien sûr que si ! Tu… tu es géniale, Binky ! Vraiment.
Elle sourit une nouvelle fois, tira sur sa cigarette puis me regarda, l’air plus grave. Un nuage de fumée s’élevait ...