1. Paul, le mari candauliste d'Éva 3


    Datte: 02/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sofie34fr, Source: Hds

    ... d'un mouvement de tête.
    
    Le vendeur revint tout essoufflé.
    
    - Non, je suis désolé, mais je peux les commander.
    
    - C'est parfait. Je vois que je peux vous faire confiance. Vous ne voudriez pas décevoir ma femme ?
    
    - Heuuu. Non bien sûr.
    
    - Bien. Je paie la totalité et je vous saurais gré de les amener à ma femme dès que vous les aurez réceptionnées. Cela vous convient ?
    
    - Heuu. Oui bien sûr. Avec grand plaisir. L'homme retrouvait peu à peu son assurance.
    
    - Voici notre adresse et le téléphone de mon épouse. Elle attend votre appel.
    
    Nous sortîmes en riant, complices du jeu qui venait de se dérouler.
    
    Mais, ce n'était pas terminé. Il restait encore le coiffeur et l'esthéticienne pour enlever tous les poils superflus.
    
    Je rentrai crevé à la maison, mais le résultat en valait la peine. J'avais toujours un peu cette pointe de jalousie. Éva ne se mettait pas autant en beauté avec moi, mais j'en récoltais les fruits et cela nous sortait de notre routine.
    
    Une bonne journée aussi pour moi, le photographe… Je pris un moment pour travailler mes images sous Photoshop et je me fis un plaisir à en envoyer quelques-unes à Yassine…
    
    Samedi.
    
    Éva était vêtue de la robe blanche à ouvertures multiples et chaussée de ses nouveaux escarpins blancs. Elle marchait difficilement, mais pour quelques moments à la maison, c'était parfait. Une petite touche de rouge à lèvres Christian Dior ; un beau carmin. J'étais scotché de voir ma belle ainsi parée. Je pris mon appareil ...
    ... photo pour immortaliser ce moment. Nous n'avions pas encore terminé les photos que nous entendîmes la voiture de Yassine arriver.
    
    Éva se précipita vers le miroir pour faire quelques retouches. Mon ange était prêt.
    
    Cette fois, c'est mon épouse qui ouvrit la porte et qui alla au-devant de son amant. Il n'eut pas le temps de descendre. Éva l'embrassait déjà et je voyais que le coquin lui caressait les fesses nues.
    
    Enlacés, les amants s'approchèrent de la maison. J'entendais Éva qui parlait à son chéri sans ambages :
    
    - Que je suis contente que tu sois venu. Tu m'as manquée.
    
    - Tu ne crois pas que c'est ma grosse queue qui t'a manquée…
    
    - Oui, peut-être….
    
    - Comment ça peut-être ?
    
    - Oh oui !! Elle est trop bonne et j'ai hâte que tu me la mettes bien profond.
    
    - Voilà qui est bien dit.
    
    - Bonjour mon ami. Comment vas-tu ? Je t'ai manqué aussi ?
    
    - Bien évidement. Nous avions un manque depuis ton départ et nous te retrouvons avec beaucoup de plaisir, de désir et d'excitation.
    
    Le temps était doux. Nous nous installâmes sur la terrasse. J'avais préparé un petit apéro.
    
    Je m'éclipsais pour aller chercher le champagne. Je laissais Éva et Yassine seuls un moment.
    
    De la cuisine, je pouvais voir les amants sur la terrasse. Yassine semblait s'amuser de la robe d'Éva. Il jouait avec les boutons. Ma femme riait comme une adolescente qui découvrait l'amour. Ma main était dans mon boxer. Je me caressais. Ma queue était déjà bien dure.
    
    Éva eut envie de passer ...
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