1. Paul, le mari candauliste d'Éva 3


    Datte: 02/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sofie34fr, Source: Hds

    ... en plus transparents et indécents. De plus en plus chers aussi.
    
    Je profitais de chaque séance d'essayage pour caresser et photographier ma femme qui me demandait : "Tu crois qu'elle plairait à Yassine ?" Je ne sais pas si c'était le fait de faire allusion à son amant, mais sa vulve était trempée….
    
    Finalement, elle opta pour une robe blanche originale, ouverte devant, derrière et sur les côtés avec des boutons pression. Un tissu léger et agréable au toucher : du crêpe.
    
    Ensuite, il fallut acheter des chaussures. Des escarpins qui devraient lui affiner les jambes et lui relever le cul en lui accentuant la cambrure des reins...
    
    J'adore acheter des chaussures avec Éva, surtout qu'elle néglige bien souvent de porter tout sous-vêtement. Je me rappelle. Nous étions entré dans un magasin de chaussures mixte avec des vendeurs homme et femme. Dès que nous sommes entrés, c'est un homme qui est venu au-devant de ma femme. Après lui avoir demandé quel genre de chaussures elle recherchait, il la fit asseoir un peu à l'écart des autres clients déjà installés.
    
    Il revint avec 4 ou 5 boîtes qu'il ouvrit devant ma chérie. L'homme prenait son temps pour s'occuper d'elle. J'étais installé dans un angle intéressant et j'avais mon petit appareil photo dans les mains ; discret et performant.
    
    Je voyais le vendeur qui s'appliquait à défaire ses chaussures. Chaque geste était une caresse légère. Je voyais Éva frissonner. C'était un pro. Il prit son temps pour glisser le pied de mon ...
    ... épouse dans les escarpins. Je voyais clair dans son jeu. Ses mouvements amples avaient aussi pour objectif d'écarter ses cuisses. Éva me regarda avec un grand sourire que je lui rendis. Elle joua le jeu. Elle amplifia alors chaque mouvement du vendeur, ce qui eut pour effet d'avoir les cuisses suffisamment ouvertes pour que le vendeur ait une vue directe sur sa vulve épilée. Je n'en ratai pas une miette et mon appareil photo mitraillait cet instant magique d'exhibition.
    
    Le vendeur rougit et continua comme si rien n'était. Ses caresses devinrent plus appuyées et ses mains montèrent un peu plus haut que nécessaire. Eva était troublée. Elle ferma ses yeux pour profiter de l'instant et des sensations qui lui traversaient le corps. Le vendeur toussa pour lui faire reprendre ses esprits car elle devait se lever et marcher pour se décider. Il lui tint la main un poil trop longtemps. J'assistais à une danse érotique improbable dans un endroit public. Éva fit semblant de trébucher et je vis sa main se poser sur l'entre-jambe du vendeur qui sursauta surpris de l'audace de sa cliente. Il me regarda inquiet. Je le rassurais d'un clignement d'œil. Dans un autre contexte, je pense qu'Éva lui aurait demandé de visiter les réserves….
    
    Ma femme se décida pour les escarpins blancs et au moment de payer, je demandai au vendeur :
    
    - Avez-vous la même paire en rouge ? Même pointure évidemment.
    
    - Je vais vérifier tout de suite.
    
    Éva me fixa d'un regard interrogateur. Je la tranquillisais ...
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