1. Une branlette espagnole d’enfer


    Datte: 02/07/2018, Catégories: Mature, Partouze / Groupe Auteur: billy2659, Source: xHamster

    ... salaud avait maintenant parfaitement compris toute la satisfaction qu’il pouvait retirer de la situation.
    
    Plus bas, ente mes cuisses, son pote s’activait divinement bien. Sa langue faisait preuve d’une rare agilité et d’une souplesse remarquable. Il me branlait le clito avec ses lèvres et j’y trouvais un plaisir intense. Cela devait se voir sur mon visage car j’étais très excitée. Je ne parvenais pas à retenir les gémissements que m’arrachaient ses agissements impudiques. Comme je le pressentais, il a peu à peu commencé à me toucher avec ses doigts courts mais épais. Il a d’abord fait passer son pouce sur ma fente déjà largement ouverte mais s’est vite rendu compte qu’il pouvait y aller plus franchement. Alors, il m’a enfoncé deux doigts dans la vulve. J’ai quand même poussé un petit cri quand son index et son majeur se sont introduits dans mon vagin.
    
    Mon corps devenait incontrôlable. Entre mes seins, le jeune homme s’agitait. Il donnait des coups de reins toujours plus violents. Il se masturbait littéralement entre mes nichons. Son nœud baveux venait buter contre mon menton de plus en plus fréquemment. Je tirais la langue et je sentais son bout qui me tapait dessus. N’y tenant plus, j’ai ouvert la bouche et je l’ai happé pour la deuxième fois de l’après-midi. Il a continué à se branler sur ma ...
    ... poitrine mais je faisais mon possible pour le garder entre mes lèvres. J’étais comme folle. Mes miches étaient presque collées contre mes joues tellement il me bourrait à fond. Il me baisait à nouveau la bouche et j’étais déjà résignée à ingurgiter son sperme brûlant une fois de plus. Le vicieux n’y voyait aucun inconvénient et se contentait de prendre son pied en moi comme il l’aurait fait avec une vulgaire poupée gonflable. Je n’étais plus pour lui qu’un trou à bite accueillant. J’avoue que cette idée n’était pas pour me déplaire. Le visage déformé autant par le plaisir que par le pieu qui me remplissait les joues, je savourais le moment présent à sa juste valeur.
    
    L’autre homme me limait la chatte à fond. La rugosité de sa langue sur mon con n’était plus qu’un souvenir. Si ses lèvres me pompaient encore le bourgeon, ses doigts avaient complètement remplacé sa bouche dans mon sexe. Il me pistonna un bon bout de temps avant de finir par me faire jouir. En criant, c’était sa queue que j’imaginais dans mon trou. Je ne pouvais pas m’en passer et je savais déjà qu’il faudrait qu’il me la mette avant que je ne le laisse repartir avec son collègue. L’après-midi n’était pas encore fini et même s’il fallait que je m’offre une porte de garage pour les dédommager tous les deux, cela en valait vraiment la peine. 
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