1. Une branlette espagnole d’enfer


    Datte: 02/07/2018, Catégories: Mature, Partouze / Groupe Auteur: billy2659, Source: xHamster

    Le jeune commercial avait maintenant les couilles bien vidangées et la bite propre. C’était nécessaire si je voulais pouvoir user de ses services d’une manière efficace. Une fois qu’il se sera remis de ses émotions, il saura se montrer plus endurant. C’est le problème avec les jeunes puceaux : ils sont souvent vigoureux et dynamiques mais pas toujours très endurants. Il leur faut habituellement peu de temps avant leur première éjaculation. Les rapports sexuels avec eux se révèlent parfois décevants pour une raison bien simple : ils sont trop excités et ne savent pas contenir leur désir. Voila pourquoi j’avais sucé le commercial avant d’aller plus loin. Je voulais qu’il puisse se contrôler et ne pas m’inonder la chatte de son sperme trop rapidement quand je lui demanderai de me baiser bien à fond. Je n’avais pas pris les mêmes précautions avec son collègue car j’estimais qu’à son âge il devait être capable de retenir ses ardeurs un bon bout de temps. J’espérais ne pas me tromper sur son compte.
    
    Une fois avalée la dernière gorgée de foutre chaud, j’ai lâché la queue du type que je branlais. Je me suis levée et j’ai disparu un instant dans la cuisine pour aller me rincer la bouche. Je n’ai pas laissé à mes deux visiteurs le temps de se rhabiller. Revenue rapidement auprès d’eux, je me suis mise à poil en leur demandant de faire pareil. Ensuite, je me suis allongée sur la table basse, les jambes pendantes et je les ai priés de venir s’occuper de moi. J’étais sur le dos, les ...
    ... cuisses bien écartées et les bras en croix. Je leur ai fait savoir que je souhaitais qu’ils me lèchent la chatte l’un après l’autre. Celui qui n’était pas vissé sur mon sexe devait me caresser les nichons. J’ai insisté pour que le vieux s’occupe d’abord de mon mille-feuilles. Le plus jeune aurait ainsi tout le temps de se calmer la bite en me tripotant les miches. S’il parvenait à se montrer efficace, peut-être que je lui sucerai encore la pine.
    
    Le vieux (façon de parler) s’est agenouillé entre mes jambes, au pied de la table. Il était complètement nu maintenant mais je ne le voyais pas. Je devinais à peine sa tête perdue derrière mon pubis rebondi. Ce n’était pas bien grave car ce qui importait par-dessus tout, c’était qu’il me suce le chat avec bonheur. J’avais vu passé un éclat brillant dans son regard lubrique au moment où je lui avais demandé de me faire une minette. C’était de bon augure pour la suite et je me réjouissais de sentir sa bouche sur mon trou. Mon mari n’était pas un pratiquant très assidu du cunnilingus et j’étais un peu frustrée de ce côté-là. J’avais découvert cette pratique dans ma jeunesse avec une amie, lors de mon unique expérience lesbienne et je regrettais vraiment de ne pas y avoir accès plus souvent. C’était le moment d’en profiter !
    
    Le petit jeune était peut-être puceau mais, en tous les cas, il avait déjà touché des nichons. Ces caresses étaient agréables et je l’aidais de mon mieux en ramenant avec les mains mes oeufs au plat sur le haut de ...
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