1. Le plaisir de la chasse


    Datte: 02/07/2018, Catégories: fh, jeunes, couple, fépilée, école, toilettes, amour, revede, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral amourdura, lieuxpubl, Auteur: Petite Brune Piquante, Source: Revebebe

    ... entre ses mains.
    
    Je l’encourage :
    
    — Oh mon Dieu, Denis, ne t’arrête surtout pas, je t’en supplie, je vais jouir.
    
    À ces mots, il branle comme un forcené mon sexe serré et humide de désir. Je n’en peux plus, il m’a léchée tant et si bien que tout mon corps se crispe dans un dernier sursaut avant qu’une immense vague de plaisir me submerge.
    
    — Oh oui, Denis, oui… Ah… C’est trop bon. J’aime ça. Oui… Oh, merci mon amour.
    
    Je vois des étoiles danser autour de ma tête. Il me faut une bonne minute pour revenir sur terre avec lui. Waouh ! Il m’a fait complètement déconnecter de la réalité. Il arbore un large sourire, se relève pour me serrer dans ses bras en glissant ces mots dans le creux de mon oreille :
    
    — Alors ma belle, ça valait le coup, non ? Je t’avais promis que tu n’aurais pas à regretter ce petit effort… Comment tu te sens là, tout de suite ?
    — Trop bien. Je ne sais pas comment te le dire mais j’ai pris un pied d’enfer. Tu crois que le cours à repris ? J’espère qu’on n’a pas attiré l’attention des autres… J’ai un peu peur ...
    ... de sortir d’ici. J’ai très envie de te renvoyer l’ascenseur…
    — Mais j’y compte bien. Viens passer la nuit chez moi ce soir.
    — Je ne peux pas, je dors chez Isa, soirée fille et tu n’es pas convié.
    — Cruelle, j’ai très envie de toi, tu ne sens pas mon érection ? dit-il en posant ma main sur son sexe proéminent.
    — Pardon, mais je ne veux pas me défiler, je m’occuperai de ton cas demain soir, ça te va ?
    — Ok, mais il va falloir que tu mette les bouchées doubles alors. Viens, on va prendre un café en attendant la fin du cours pour récupérer nos affaires. Je crois que si on reprend en route, on va se faire griller avec ce prof-là aussi…
    
    Le hall d’entrée est désert, le cours a repris depuis longtemps sans nous. Je suis soulagée de ne pas avoir à affronter les regards choqués ou grivois de nos congénères. Je n’ai qu’une seule envie, me blottir dans ses bras et boire un café en sa compagnie.
    
    Il fait toujours aussi beau à Avignon et la vie est décidément formidable.
    
    L’avenir ? Il me doit quand même un gage et j’ai déjà une petite idée… 
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