1. COLLECTION COCU. Le voilier. Initiation (1/2)


    Datte: 02/07/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... nuits suivantes jusqu’à ce qu’il me parle de son envie de m’épouser et que j’accepte, mais lui imposant d’aller demander ma main à mon père.
    
    Je dois la vérité, j’aime bien qu’il me fasse l’amour, mais mon cœur est loin de s’emballer comme j’en rêvais dans mon adolescence, je calcule simplement que je suis amoureuse de Paris et que pour demander ma nationalité française, il serait préférable quoique je sois fille d’ambassadeur, d’être l’épouse de.
    
    Ça marche, ma demande remonte en haut du panier et je fais serment d’aimer mon nouveau pays quelque temps après avoir dit au maire que je serais fidèle à mon époux.
    
    Comme je l’ai dit, je l’aime bien, mais je pense que je ne tiendrais pas dix ans avant de trouver d’autres beaux mâles qui apprécieront les petites poupées coréennes du Sud bien sûr et n’ayant rien à voir avec les chinoises.
    
    Lors de mon mariage, je fais la connaissance d’un couple d’amis de Gaspard, Véronique et Adam, eux aussi sont bourrés de pognon étant la fille d’un grand groupe de super marché et lui d’un groupe d’électroménager.
    
    Elle jolie fille blonde d'un mètre quatre-vingts, lui garçon ayant passé sa vie à s’occuper de son corps en plus d’étude de management, un jour papa prendra sa retraite, il doit être prêt.
    
    Elle ne serait pas née avec une cuillère en argent, elle aurait pu être mannequin tenant le haut du pavé dans les défilés.
    
    Nous dînons chez eux après notre voyage de noces à la réunion, ou j’ai pour la première fois, cocufié mon ...
    ... mari.
    
    Un matin, il est allé faire du jogging, il semblait peu pressé de me sauter, j’ai commandé mon petit déjeuner apporté par un homme chocolat, de la tête à la bite que je me suis mise à sucer comme une morte de faim.
    
    Quand il a eu la bite bien dure, comme j’étais nue, il m’a planté sans se poser de questions, ça tombait bien, moi non plus, nous n’avons pas eu la chance de recommencer deux fois pendant les quinze jours de notre séjour.
    
    J’étais assez souvent seule, Gaspard quittant mon entrejambe pour des lieux qu’il se gardait secret, mon amant me suffisait et c’est tout naturellement que nous sommes retournés en France sans pour autant nous poser plus de questions.
    
    • Parlons-nous de ton pays Cho, je suis une éternelle étudiante, je suis allé voir sur Internet, je savais que dans certains pays, les noms ont une connotation poétique, le tient veut dire « Belle et Charmante ».
    
    En me disant cela, elle me prend discrètement la main avant de la lâcher précipitamment, ouf, les hommes n’ont rien vu, mais j’ai été troublé.
    
    • Que faite vous en août, vous seriez libre la première semaine, mes parents ont une maison à Pontaillac, près de Royan avec dans le port un voilier de 18 mètres capable de traverser les mers qu’Adam aime barrer.
    
    • Riche idée, si le temps le permet, nous pourrons rester la semaine à naviguer.
    
    • Excusez, je reviens.
    
    Gaspard revient en s’essuyant la bouche, nous acceptons, il aura fini ses examens et commencera à travailler avec son père dès ...