Webmaster, quel beau métier
Datte: 28/01/2018,
Catégories:
f,
couleurs,
couple,
grossexe,
fépilée,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Auteur: Bleuet, Source: Revebebe
... enfin. Les pieds au sol, Pat reçoit sur les épaules une poussée impérative qui l’agenouille. Les grands battoirs noirs font sauter le pagne et jaillit sous le nez retroussé un sexe énorme, de plus de vingt centimètres, dont l’extrémité en fer de lance émoussé est portée au bout d’un rouleau aplati, large et de bonne épaisseur.
C’est la surprise. La chevelure d’écolière fait un bond en arrière devant ce trigonocéphale menaçant. Instinctivement elle y porte les mains pour le détourner et s’en protéger.
Inutile tentative, la barre est solide, oscille de bas en haut autour d’un axe tourné vers le plafond.
Les yeux écarquillés disent l’étonnement et la frayeur.
Elle doit se demander si…
La main lui prend le menton, l’homme d’un rapide mouvement de langue lui intime l’ordre de lécher l’apparition terrifiante qu’il désigne du doigt.
La langue pointue attaque à la racine, lèche la base, mouille le scrotum.
Pour se diriger vers la tête du nœud, elle abandonne la position, s’accroupit, genoux ouverts après s’être délivrée lentement de la contrainte de la culotte. D’une main elle rabat le manche, de l’autre elle vérifie l’humidité de son propre vagin.
Enfin elle a couvert de salive tout le tronc, et pour aborder le gland violacé elle se redresse, se penche et tend à la caméra son derrière. Les grandes lèvres se sont légèrement séparées, tout le galbe du sexe apparaît au grand jour, exploré par le technicien qui zoome sur le renflement fendu de l’abricot dépourvu ...
... de poils.
Trop occupée à entamer l’épais trigone, elle y porte les lèvres, les tend au maximum, pas certaine de pouvoir tailler la pipe réclamée du doigt et imposée par la main pesant sur ses couettes.
Elle ne cherche pas à dissimuler ce qu’on ne montre pas habituellement. Elle a une mission à remplir, elle attaque avec détermination.
Le gland est passé entre les mâchoires forcées. Ça mérite un temps d’arrêt. Les couettes servent de rênes. Mamadou les utilise pour faire avancer ou reculer la bouche envahie.
La caméra montre les coulées de salive échappée des lèvres pour s’étaler sur le menton.
Insatisfait, il relève Patricia, l’empoigne à la taille et lui fait décrire autour de cet axe un demi-tour. Il la maintient ainsi : devant ses grosses lèvres charnues il a le sexe féminin et la bouche de la partenaire retrouve l’énorme bite à sucer.
Lui debout, elle plaquée tête en bas et pieds en l’air, ils se lancent dans un époustouflant soixante neuf vertical.
Mamadou bouffe la chatte, il dévore comme un goinfre, y enfonce sa langue toute rose, la promène en tous sens, la tête prise entre les deux jambes appuyées à ses épaules. De la main gauche Patricia s’accroche au pieu, nuque rejetée en arrière pour se mettre en bonne position à l’extrémité de l’épée dressée vers elle.
Elle ne chôme pas, couettes tombantes remuées par un va-et-vient inlassable. Il reste peu de temps.
Voici Patricia allongée de dos sur les longs poils de sa peau de bête. Mamadou tient ...