1. Marie - Ange & Démon (6)


    Datte: 01/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: FredM, Source: Xstory

    ... lorsque nous passons le couloir, puis l’entrée dont j’ouvre la porte elle s’inquiète.
    
    — Qu’est-ce que vous faites ?
    
    Nous sommes sur le palier. Georges a déjà calé Marie contre le mur et la baise en équilibre instable. Et puis on entend des voix, des pas résonner sur les marches de bois. Marie tend l’oreille soudain attentive.
    
    — Merde ce sont mes voisins.
    
    Elle précise en montrant les deux autres portes du palier.
    
    Je vais ouvrir pensant que nous allons rentrer mais je vois Georges et son fardeau monter les marches qui conduisent à l’étage. Je les suis tout de même inquiet mais un virage nous conduit sur le petit palier du grenier. Il fait plus sombre. Pendant la montée, le visage de Marie était tourné vers moi et j’ai bien vu ce que lui procuraient les secousses. La salope, inquiète mais tout de même encore guidée par ses sens.
    
    Le palier est étroit. Georges s’appuie sur le mur. Marie est entre lui et moi.
    
    Les voix se rapprochent. Un instant je crains qu’eux aussi montent au grenier. Mais non, ils bavardent devant leur porte.
    
    Je sens la chaleur du corps de Marie. Son dos, ses fesses. Je la caresse. Ma main trouve la bitte et les couilles de Georges. Un peu plus vers moi la raie. J’humidifie un doigt et lui glisse dans le cul. La trainée sursaute et retient un cri.
    
    Attend ma belle tu vas voir. Je place ma queue contre son cul. Elle bute sur celle de Georges qui semble me guider. Je pousse. L’anus bâille mais pas assez. Je dois forcer. C’est Georges ...
    ... qui occupe toute la place. C’est à la fois l’inconvénient mais aussi le plaisir d’un sandwich. Deux bites dans un volume restreint ! Deux bites qui doivent cohabiter, batailler, mais aussi deux bittes qui se frottent, complices dans cette possession si particulière.
    
    Je ne retiens pas mon coup. Je l’enfile. Sa surprise est totale. Le cri qu’elle pousse résonne dans la cage d’escalier.
    
    — Vous avez entendu ? Dit une voix un étage plus bas.
    
    — Oui. C’est quoi? Cela venait du grenier.
    
    — Moi j’aurais dit d’en bas. Un enfant ?
    
    — Non, un chat peut-être.
    
    Ils cessent de parler, guettant le moindre bruit. Ils n’en entendront pas. J’ai placé ma main sur la bouche de Marie. Pourant je glisse en elle, gagnant millimètre après millimètre le droit de l’enculer profond.
    
    Elle est chevillée sur nos pieux. Pleine de notre vigueur. Possédée par deux hommes qui font d’elle leur jouet. Le silence hurle notre présence. Chuintements, glissades, respirations qui heureusement pour Marie ne sortent pas de notre palier.
    
    Les voisins se saluent. Chacun pousse la porte de leur appartement. Ont-ils la moindre idée de ce qui se passe chez leur voisine ? Savent-ils que les bondieuseries de cette bigote cachent un monde satanique. Après tout Dieu a créé Satan, c’est bien pour que certaines de ses ouailles goutent au fruit défendu.
    
    J’invite Georges à rentrer. Je ne voudrais pas être la cause de la honte et de la moquerie si les autres savaient.
    
    Il entraine sa proie toujours fichée sur ...
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