Marie - Ange & Démon (6)
Datte: 01/07/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: FredM, Source: Xstory
... gros, toujours aussi velu, sa verge pend entre ses cuisses.
La pute sait ce qu’elle doit faire. Elle a dû le faire tant de fois ! Et pourtant sa gourmandise semble sincère. En quelques caresses la queue se dresse. Elle le suce. Lui, la force comme je l’ai déjà vu faire. Moi je regarde et je sais qu’à l’autre bout de la ville un autre regarde aussi. Il l’a déjà vue en vidéo, mais en direct c’est d’autant plus fort. Mais je n’ai pas l’intention de rester inactif. Moi aussi je veux ma part. Je sais par Marie que jamais elle ne s’est partagée entre deux hommes. Georges, à part la forcer à se montrer par la fenêtre n’a jamais invité un homme avec lui.
C’est Georges qui pousse Marie vers ma bitte, déjà dure de leur spectacle. Il regarde et je comprends que pour lui c’est une découverte. Le plaisir n’est pas que de se faire sucer, il est aussi de regarder. Il rejoint en l’espace de quelques secondes la communauté des maris cocus contents, des voyeurs de leur propre femme donner du plaisir à un autre. Marie n’est pas sa femme mais c’était une maitresse exclusive. Je me demande s’il a eu la curiosité de regarder Marie avec Marc.
Peu importe. Elle me suce et c’est bon. Je la renvoie vers Georges. On pourrait suivre sa trace aux traces de salive qu’elle laisse au sol. Elle l’embouche à fond. Moi je me lève et vais me placer derrière elle. Je finis de la déshabiller en lui enlevant plug et vibro. Sa chatte est ouverte. Je l’enfile facilement. Commence alors ma baise. Forte, ...
... puissante, profonde faisant avancer Marie sur la queue de Georges. Je lui claque les fesses.
— Putain Georges qu’elle pute !
— Tu as raison. Je ne sais pas ce qu’elle t’a raconté mais il n’a pas fallu la pousser beaucoup pour la transformer en bouffeuse de bittes.
— Elle aime ça.
— Oh que oui ! Claque la plus fort elle adore finir avec les fesses rouges. Le cul en feu !
Je la claque. Elle gronde. Je lui tire les cheveux la faisant redresser, se cambrer encore plus, l’obligeant à quitter la bitte de Georges.
— T’aimes ça salope.
— Oui.
Une claque.
— Explique-nous ce que tu aimes. Tout ce que tu ne faisais pas à ton copain, Marc a petite bitte. Ah s’il te voyait !
Nouvelle claque.
— J’aime tout. Sucer, me faire baiser, me faire enculer. Je suis une vraie pute, allez défoncez moi, battez moi, je suis votre chienne, je ferai tout ce que vous voulez…..
Nous sommes des amants obéissants. Je la laboure. Georges l’étouffe de sa bitte. Nous voici deux complices.
Je crache le premier inondant à regret cette chatte. Georges ne tarde pas. Elle s’étouffe, tousse, crache, pleure mais garde bien le foutre en bouche.
Georges ne débande pas. Sa bitte est un pieu et j’y pousse la garce pour qu’elle s’empale dessus. Sa chatte est grasse de ma liqueur.
Et puis j’ai une idée. J’invite Georges à se lever. Il le fait et Marie s’accroche à lui, empalée, l’enveloppant de ses bras et de ses cuisses. Je lui fais signe de me suivre. Marie ne me voit pas mais ...