1. Amoureuse de Papa (2)


    Datte: 29/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: IciLéa, Source: Xstory

    ... était une douce torture. Plus j’attendais et plus j’étais excitée. Je commençais déjà à mouiller. Prenant mon courage à deux mains, je relève lentement mes jambes. Mes deux pieds sont à présent sur le bord du canapé, je suis jambes écartées, très écartées. Dans cette position, ma jupe glisse naturellement sur mes cuisses, offrant une vue royale sur mon intimité. Le visage caché derrière mon livre, je fais mine de lire attentivement.
    
    En réalité, je lis et relis les mêmes paragraphes, les lettres se brouillent devant mes yeux et je n’osais plus tourner la page, de peur de rompre le charme. Je ne sais pas si mon père avait suivi mon manège et s’il m’observait en ce moment même. Alors, comme une invitation, j’avançai mon bassin vers le rebord du canapé. J’accueillais avec réconfort le cuir froid du canapé contre mes fesses. J’étais en feu. J’avais le sexe offert. On ne pouvait faire plus explicite. Je l’allumais pour la deuxième fois en trois jours. J’avais tendu la perche, papa devait maintenant la saisir. C’était trop excitant. Je sentais ma mouille couler à l’intérieur de mes cuisses. J’entends mon père qui se lève.
    
    — Léa...
    
    Mon prénom prononcé comme dans un soupir. Je regardai papa se lever, mais ce n’était pas vers moi qu’il se dirige. Il alla d’abord vers la fenêtre, sûrement pour s’assurer que la voiture de ma mère n’était effectivement plus là. Il se dirigea ensuite vers la porte qu’il ferme à clé de l’intérieur. Mon cœur battait la chamade. Crainte, ...
    ... excitation... Pourquoi prenait-il toutes ces précautions s’il ne comptait pas céder à la tentation ? Je serrai mon livre des deux mains, contre ma poitrine, et je n’osai plus bouger ni prononcer un seul mot. Je fermai les yeux. J’étais persuadée que j’allais m’évanouir face au trop-plein d’émotions. C’est à peine si j’osais respirer.
    
    — Léa ma chérie...
    
    J’ouvris les yeux. Mon père vint s’agenouiller contre le canapé. Il était sur la moquette, face à moi. Si proche que son vêtement caressait le bout de mes orteils. Il regarda mon sexe offert. Ça me fit mouiller de plus belle. J’avais conscience de souiller peu à peu son précieux canapé, mais qu’importait. Je sus - je sentis - que tout ça ne le laissait pas indifférent. Il soupira à nouveau et quelque chose changea dans sa respiration. Je posai mon Zola puis l’encourageai d’une voix très douce:
    
    — Vas-y. Fais-le...
    
    Faire quoi ? Je n’en avais aucune idée. C’était flou sur le moment. Mais une chose était sûre, j’avais envie qu’il fasse quelque chose. J’avais rêvé de cet instant un tas de fois et j’étais prête. Quoi qu’il fasse, j’étais prête. J’étais à lui. Je ne voulais plus attendre.
    
    Ce devait être l’encouragement qu’il attendait en secret, car juste après, il se releva pour forcer l’entrée de ma bouche avec sa langue. Jusqu’ici, je n’avais été embrassée par un garçon qu’une seule fois. Je n’avais pas trouvé ça extraordinaire, c’était baveux, maladroit et pas franchement excitant. Mais le baiser de mon père était un pur ...