1. Amoureuse de Papa (2)


    Datte: 29/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: IciLéa, Source: Xstory

    Je me levai le lendemain avec une forte appréhension et, c’est encore un peu ivre de ma témérité de la veille que je pris mon petit-déjeuner. Heureusement, j’étais seule. Ma sœur était déjà à la fac et mes parents au travail.
    
    Je n’avais pas cours avant plusieurs heures donc je préparai la suite de mon plan. De retour dans ma chambre, je sortis un t-shirt blanc tout simple et une jupe plissée qui m’arrivait aux cuisses. Je les pliai puis les déposai au-dessus d’une pile de vêtements fraîchement lavés et repassés. Et je posai juste à côté mon livre du moment, "Au Bonheur des Dames" de Zola. Tout était prêt.
    
    Le soir venu, avec ma grand-mère maternelle qui dînait à la maison, j’étais pieds et poings liés. Je prenais mon mal en patience. C’était un vendredi soir. Le lendemain, nous serions en week-end et j’allais pouvoir passer du temps avec mon papa, comme à notre habitude. En parlant de papa, rien n’avait changé en apparence. De retour du travail, il m’avait embrassée sur la joue comme à l’accoutumée et son regard - que j’avais pensé fuyant - ne l’était pas du tout. Comme s’il ne s’était rien passé la veille. Pourtant je n’avais pas rêvé ! C’était pour le moins déconcertant. Et si je faisais fausse route ?
    
    Qu’importe, j’étais décidée à en avoir le cœur net...
    
    Arriva enfin le samedi matin. Je portais le t-shirt blanc et la jupe plissée bleu nuit sélectionnés la veille. C’était le jour des courses. Comme je vous l’ai expliqué, dans ma famille, hormis les repas et ...
    ... quelques vacances, nous faisions tout séparément. C’était valable pour les courses. Maman faisait exprès de faire les courses seule et de ne jamais acheter ce qui faisait plaisir à mon père ; forçant ce dernier à faire ses propres courses de son côté. Je trouvais ça pitoyable, mais pour une fois, ça servit mes plans.
    
    Ma mère et Sandrine se préparèrent à aller au supermarché. Pour la forme, ma mère me demandait parfois si je souhaitais les accompagner. Je refusais tout le temps. Chaque instant passé avec papa - sans ma mère et son mauvais caractère - était pour moi une bénédiction.
    
    Je préférais rester à la maison, à lire dans ma chambre ou à écouter de la musique dans le bureau de mon père.
    
    Une fois ma mère et ma sœur parties, je passais rapidement dans la salle de bains pour enlever ma petite culotte, et mon Zola en mains, je frappais au bureau de mon père. La porte était entrouverte.
    
    — C’est moi...
    
    Un superbe Chesterfield en cuir marron trônait dans la pièce, face au bureau de mon père. Assise sur cet imposant canapé, papa aurait une vue plongeante sur moi. Parfait ! Je m’assois et reprends mon roman là où je m’étais arrêtée. Je jette un coup d’œil à mon père. Il travaille sur son ordinateur, sans prêter attention à ce que je fais. Hormis le bruissement des pages que je tourne et le tapotement de ses doigts sur le clavier, la pièce était silencieuse. C’était le bon moment. Recommencer mon manège de la fois précédente, en poussant plus loin cette fois-ci. L’attente ...
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