Papa s'en va-t-à confesse
Datte: 29/06/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
copains,
neuneu,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
extraconj,
Auteur: Zahi, Source: Revebebe
... nos orgies. Je voulais dire quelque chose, mais elle m’avait déjà collé au corps et fermé ma bouche avec sa petite main, l’autre main jouait déjà dans mon pantalon. Elle était assoiffée ta maman, en chaleur, la nana qui n’a pas baisé depuis des années. Et puis j’étais presque dans la même situation. Je l’ai sautée alors, deux fois en une demi-heure, et à chaque fois, elle finissait en pleurs.
Papa se tait. Il commence à respirer fort, lentement. À chaque fois il se gonfle en entier, fait un ou deux coups de hanche, lourds, de tout son poids, puis se relâche, transpire, puis reprend. À chaque coup Brigitte émet un petit grondement étouffé.
— Voilà, voilà, j’arrive, dit mon papa.
— Oui, oui, vas-y, je suis prête.
— Voilà, ça y est, tu m’as vidé, salope, tu m’as vidé
Il se fige comme une statue, planté derrière Brigitte. Elle ne bouge plus non plus du bassin, je vois son torse se gonfler et se dégonfler, elle gémit à petits cris. Puis papa recule d’un pas, sa queue lui tombe fléchie entre ses jambes. Brigitte se redresse et se retourne, puis s’agenouille, prend le sexe de papa dans sa bouche, l’astique, le suce, il reste mou. Papa sort son portable de la poche de son pantalon, lit sur le cadran puis dit :
— Plus d’une heure qu’on est là Brigitte, il faut qu’on se dépêche, c’est un miracle qu’Annie ne soit pas encore revenue.
Il remet son pantalon, elle son soutien-gorge et son tee-shirt. Il remet sa chemise. Elle enfile sa culotte, une jambe, puis l’autre. Elle ...
... est belle. Elle me fait du bien. Je fourmille de partout, j’explose. Je suis mouillé. Elle entre dans sa petite jupe. Papa ouvre la porte, ils sortent, je suis toujours collé à la fente par laquelle je vois dans la cabine. Papa dit :
— Ah le salaud, il a tout vu, le salaud…
Il tend la main vers moi. Je comprends que je dois dégager. J’ai peur de papa.
— En plus il est tout mouillé, le salaud, le coquin !
Papa et Brigitte se mettent à rire. Brigitte dit :
— Il est génial ce Zozou, dommage qu’il soit idiot, sinon je l’aurais bien aimé, je le sens, même s’il ne te ressemble pas beaucoup. Il est plutôt de la race de sa maman, lui.
Je les suis jusqu’à la porte. Brigitte se colle à papa, lui fait un baiser sur les lèvres. Papa ne paraît pas apprécier. Il est presque fâché. Il lui crie en face :
— Écoute Brigitte, c’est fini ! Tu entends, c’est fini !
— C’est pas possible, Karim, tu ne vas pas me faire ça. Tu m’aimes, et puis je te fais plaisir, je te fais bien jouir, moi, et je suis prête à faire plus avec toi, des partouzes, me taper Kader devant toi si ça te plait. J’ai pas de tabous, moi. Je serai ton esclave, tu pourras me faire tout ce que tu veux, je m’enfuirai avec toi s’il le faut, je travaillerai pour toi, je serai ingénieur dans deux ans, on peut vivre de ça ensemble, tu peux arrêter de travailler, laisser tomber tes chantiers à la noix, et puis papa et maman vont gueuler au début mais après ils vont l’accepter, ils n’auront pas le choix,
— Je t’ai ...