Vendredi 8 mars (2) - Histoires de Sexe

Vendredi 8 mars (2)

... j’étais parti pour en faire les frais. Il m’a fait relever il m’a mené jusqu’à la salle à manger où il y avait une grande table sur laquelle il m’a fait allonger sur le ventre. Il m’a mis un bâillon en forme de sexe dans la bouche, qu’il a fermement fixé en me disant qu’il n’avait pas envie de m’entendre crier comme une femelle dans l’appartement. Je ne pouvais que subir je lui ai tu étais totalement soumis et c’est ainsi que je l’ai senti soulever l’arrière de ma robe et écarter la ficelle de mon tanga.

Je l’ai senti me caresser mon petit trou puis je l’ai senti y déposer de la salive et quelques minutes après je l’ai senti positionner son sexe à l’entrée. Là il m’a informé qu’il allait s’occuper de ma petite chatte et qu’il allait me donner goût à sa queue. Il m’a expliqué qu’à force de me saillir et de me faire jouir en m’enculant je prendrai goût à m’offrir à lui. Ça y est maintenant je le sentais commencer à s’introduire en moi, il faisait ça délicatement, mais fermement. Je faisais attention à bien lui cacher, mais je prenais de plus en plus de plaisir à le sentir en moi. Une fois bien arrivé au fond de moi, j’ai senti ses boules sur mes cuisses; j’étais devenu sa femelle offerte. Maintenant il s’est accroché à mes hanches puis a commencé à me limer tout en douceur puis de plus en plus énergiquement. Je ne pouvais ...

... respirer que par le nez et je peux vous dire que je ventilais très fort par les narines. Maintenant je poussais effectivement des cris pas très masculins, mais ils étaient étouffés par mon bâillon. J’étais désormais résigné, j’étais en train de me faire saillir; pour mon plus grand plaisir, par mon voisin d’en dessous.

J’étais conscient que maintenant il allait bientôt partir en moi, et que surtout j’allais y prendre beaucoup de plaisir. À ma grande surprise, c’est moi qui ai éjaculé le premier dans ma robe et j’en ai balancé une grosse quantité. Peu de temps après Gilles se vidait, dans mes boyaux; et j’ai senti ses jets de liqueur au plus profond de moi se répandre. Je venais de devenir sa chienne qu’il pourrait féconder quand il voudrait. Il est resté encore un petit peu en moi à me limer puis s’est retiré et m’a tendu un tampon hygiénique. Il m’a expliqué que nous allions passer la nuit ensemble et que Marie viendrait me récupérer demain dans la journée. Bref durant toute la soirée j’allais être sa femme, son vide-couilles, bonne qu’à lui faire du bien. À ma grande surprise, le programme n’était quand même pas pour me déplaire. Cette journée de la femme avait réveillé des choses en moi que je ne connaissais pas et que j’étais vraiment très heureux de découvrir.

Espérant que ce nouveau chapitre vous ait plu.

Gros bisous à vous