Vendredi 8 mars (2) - Histoires de Sexe

Vendredi 8 mars (2)

... ans de plus que nous, mais ils se connaissaient très bien. Rapidement il nous a fait asseoir dans son canapé puis il est parti nous chercher des amuse-gueules et de quoi boire.

Tout a basculé quand il est revenu, car en fait il était désormais en peignoir; et on ne voyait que son sexe qui dépassait. C’est Marie qui a commencé à lui caresser en premier, mais rapidement elle a pris ma main pour que je la pose dessus, j’étais au début réticent, mais à force d’insistance j’ai fini par céder. Nous étions maintenant tous les deux en train de masturber Gilles, je peux vous dire qu’il avait vraiment un sexe de grande taille. Puis Marie m’a invité à venir faire des baisers sur son sexe, j’ai refusé, mais elle est devenue fermée, directive, voire autoritaire, jusqu’à ce que j’accepte ou plutôt que je cède. Je me suis rapidement retrouvé avec le sexe entier dans ma bouche et Marie qui donnait le rythme en me tenant la tête. De son côté Gilles donnait des coups de reins, il a pris le relais de Marie en me tenant la tête; finalement ce n’était pas désagréable de se faire baiser la bouche par un bel homme. Marie nous regardait avec un grand sourire et de temps à autre elle me remplaçait quelques secondes histoire de partager ce sexe.

C’est vrai que ce n’était pas désagréable d’avoir la bouche pleine d’un sexe, alors que j’étais vêtu en femme je prenais mon rôle de femme très à cœur; j’essayais de lui faire le plus de bien possible. J’aimais l’odeur de son sexe comme le goût avait ...

... quelque chose d’attirant. Le plus beau, c’est qu’avec les encouragements de Marie; je me laissais aller toujours un peu plus, j’adorais me sentir femme et traité comme telle. Quand j’ai senti Gilles commencer à se contracter, j’ai compris qu’il allait me balancer toute sa sainte liqueur au fond de la gorge. J’ai voulu me dégager de son sexe, mais il m’a fermement maintenu la tête; aidé de Marie. Après m’avoir balancé toute sa purée dans la gorge il a continué à me limer la bouche, au fond de moi je commençais à apprécier d’être traité de la sorte. Il va de soi que je me suis retrouvé obligé à tout avaler. Mine de rien, j’avais encore mes mains accrochées à ses cuisses; c’est vous dire que cela ne me déplaisait pas.

Pendant qu’il était en train de reprendre ses esprits, Marie avait pris des initiatives; elle était en train de me mettre un gros collier en cuir autour du cou, mais le pire c’est qu’il y avait une laisse attachée dans le dos sur laquelle elle m’a attaché les poignets qu’elle avait auparavant menottés. Maintenant j’étais totalement à la merci de Gilles et Marie, mais à ma grande surprise; cette dernière nous a quittés. J’étais en train de réaliser j’étais totalement offert à Gilles et que manifestement il avait des grands projets pour moi ce soir. Marie était partie avec mon sac à main je n’avais même pas les clés pour rentrer chez moi, ni mes papiers; j’étais condamné à m’offrir à Gilles. En peu de temps j’ai découvert que Gilles avait un côté dominant et que ...