Sur le chemin du retour de vacances - Histoires de Sexe

Sur le chemin du retour de vacances

... pus m’empêcher d’imaginer que l’initier ne pourrait que nous faire du bien. J’ai donc cherché à le provoquer en bougeant légèrement ma main, remontant lentement le tissu léger de la jupe sur la cuisse tout en m’efforçant de détourner l’attention de Véro vers notre hôte :

— Il y a longtemps que tu n’as pas fait l’amour ?
— Oui !
— Et as-tu déjà fait l’amour à une si belle femme ?
— Non ! répond-il sans oser regarder Véro qui m’observait en commençant à comprendre mon petit jeu.
— Je présume que tu as vu sa chatte tout à l’heure ! Aimerais-tu voir sa poitrine ?
— Eh ! réagit Véro en me donnant un léger coup de coude, plus pour le principe que par révolte.
— Quoi ! Il en meurt d’envie, mon amour, tu ne veux pas me faire plaisir et lui en montrer un peu plus pour qu’il puisse se donner du plaisir en pensant à toi ! dis-je en poussant un peu Véro dans une impasse tout en profitant qu’elle ne me refusait habituellement pratiquement rien et qu’elle m’était, aux dires de certains, un peu trop soumise.
— Mais non ! reprit-elle en jouant l’offusquée alors qu’elle n’avait pas empêché mon index de se positionner à la lisière de sa chatte.

Jonathan, surpris, ne savait comment réagir en nous regardant mais je me doutais qu’il rêvait d’être à ma place et de mettre sa main à la place de la mienne. Le contact avec la vulve de Véro fut établi juste après et comme je m’y attendais en voyant ses tétins tendre son petit haut, elle n’était pas indifférente à ce qui se préparait. Elle ...

... mouillait, tout en essayant de conserver les cuisses fermées pour ne pas se dévoiler. Fier de cette constatation, je m’étais retourné vers Jonathan pour lui demander :

— Tu es seul jusqu’à quelle heure ?
— Mes parents sont en vacances toute la semaine et j’ai la maison pour moi ! me répondit aussitôt notre amphitryon.
— Tu es le roi du monde alors !
— Si on veut… un roi sans reine en tous cas !

Alors que je me demandais comment déclencher les hostilités, il venait de me tendre une perche que je me devais de saisir illico :

— Tu es en manque ?

Après avoir rougi, il fit un signe positif de la tête en levant les yeux, signe qui en disait long sur son abstinence.

— Tu aimerais faire l’amour avec nous ?
— Pardon ? dit-il de plus en plus surpris.
— Je te demande si tu aimerais faire l’amour avec nous, ou du moins avec Véro mais devant moi.

Cette phrase lui fit perdre les pédales et sa tête s’agita d’elle à moi pour réaliser qu’il ne rêvait pas. Véro, qui m’avait vu venir, faisait de rapides signes affirmatifs de la tête, pinçant les lèvres en me regardant, comme si elle attendait que je dévoile mon idée.

— Tu veux dire que ta femme et moi… devant toi… cela ne te gêne pas…
— À deux nous lui donnerons plus de plaisir et toi tu pourras jouir… pour de vrai ! Nous l’avons déjà fait…

Véro écarta soudain un peu les cuisses, ne cherchant plus à dissimuler son entrejambe même si elle ne s’exhibait pas vraiment, ce qui me permit de toucher franchement sa vulve ...