Sur le chemin du retour de vacances
Datte: 28/06/2018,
Catégories:
fhh,
extraoffre,
cocus,
inconnu,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
init,
prememois,
couple+h,
Auteur: 1bichon, Source: Revebebe
... manque de place à l’arrière l’obligeait à se mettre de biais pour nous faire la conversation. Il pouvait donc, de sa place, à loisir regarder les jambes de Véro et admirer le galbe de son sein gauche sous le coton de son petit haut. Volontairement j’avais rehaussé le volume de la radio pour l’obliger à s’avancer entre les sièges pour couvrir la musique que diffusaient les quatre haut-parleurs. Il pouvait peut-être même en voir plus que je ne l’imaginais car Véro se retournait de temps à autre sans prêter attention à sa tenue pour lui répondre. Cette idée m’effleura l’esprit quelques secondes en regardant notre auto-stoppeur dans le rétro.
L’ambiance était détendue car après une cinquantaine de kilomètres en sa compagnie, pour faire bonne figure je pense, Véro se tourna à moitié sur son siège et recroquevilla son pied gauche sous sa cuisse droite. Cet action, sans penser à mal, ouvrit légèrement le compas de ses cuisses et tira un peu sur sa courte jupe. Ceci eut aussi pour effet immédiat de faire glisser un pan du tissu et de découvrir plus de la moitié de sa cuisse. Même si Jonathan s’était rassis au fond de la petite banquette arrière en posant son bras sur la lunette arrière, il ne pouvait pas ne pas voir entre les sièges ce que moi je voyais. Quelques petits centimètres de tissu masquaient le buisson de ma compagne et, si visiblement elle feignait de ne pas y penser, je savais que peu de choses suffirait pour que notre stoppeur puisse se rincer agréablement ...
... l’œil.
Après une petite conversation sur la musique durant laquelle Jonathan s’était rapproché de mon siège, Véro se remit correctement pour le passage d’un village. Sa position initiale me permit, après le passage d’une vitesse, de reposer ma main droite sur sa cuisse le plus naturellement du monde. Vu que j’ai pour habitude de laisser ma main au contact de sa peau, elle ne dit rien. Elle posa simplement son bras droit sur le montant de la porte, vu que la conversation était temporairement épuisée.
Chacun regardait le paysage autour de lui, n’oubliant pas la route bien entendu, mais la faible densité de circulation sur cette nationale me demandait moins de concentration et me laissait un peu plus de liberté. D’inertes, mes doigts s’amusèrent à caresser doucement par petits cercles l’intérieur de la cuisse de ma compagne pour établir un contact avec sa peau en glissant sous le tissu. J’étais à mi-cuisse, aussi me laissa-t-elle agir sans intervenir, mais mon bras capta le regard de Jonathan et je vis dans mon rétro intérieur que son champ de vision se restreignait de plus en plus à l’intérieur de l’habitacle. Cela me stimula un peu car j’avais un atout qu’il ne connaissait pas, je savais que Véro était nue sous sa jupe. Pour ne pas risquer de tout gâcher, il eut l’intelligence de se faire oublier et de ne pas bouger, si bien qu’après un changement de vitesse, je pus poser ma main un peu plus haut et dévoiler un peu plus sa cuisse en faisant glisser un peu de tissu sous ma ...