1. Mélanie, étudiante à Bordeaux (25)


    Datte: 27/06/2018, Catégories: Trash, Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... trois minutes plus tôt et attendre dans l’entrée. Bon, à partir de maintenant, tu ne parles que quand je te demande quelque chose, tu me vouvoies et m’appelle « Monsieur » à chaque fois. Compris ?
    
    — Oui Monsieur.
    
    Sa voix oppressée n’était qu’un souffle, ce qui irrita Lenoir.
    
    — Parle plus fort, bon sang ! Je n’ai quasiment rien entendu.
    
    — Oui Monsieur !
    
    — C’est mieux. Déshabille-toi entièrement ; une soumise doit se présenter dans le plus simple appareil devant son maître.
    
    Anita commença à ouvrir la bouche pour répondre, se ravisa, rougit jusqu’à la racine de ses cheveux, puis céda. Elle enleva son sweater qu’elle posa soigneusement sur une chaise, se voûtant pour masquer son soutien-gorge tout simple en coton, puis enleva son pantalon de jogging. Elle le plia en deux, le posa sur le sweater avant de tordre ses doigts nerveusement, regardant son père à la dérobée. Son regard était froid et inflexible ; elle comprit qu’il exigeait qu’elle continue.
    
    Elle défit en tremblant l’attache de son soutien-gorge qu’elle plaça sur le pantalon avant de faire glisser sa petite culotte en coton sur ses jambes. Complètement nue, elle se replia sur elle-même, prête à entrer dans un trou de souris.
    
    — Ma fille, tu te rappelles la position que j’avais exigée de Mélanie, l’autre jour ? Je veux que tu prennes la même, face à moi.
    
    Elle avala sa salive difficilement et hocha la tête. Elle pouvait le faire. Malgré la honte qui mettait le feu à ses oreilles, elle s’appliqua ...
    ... à reproduire la position à l’identique, écartant largement les pieds sur le parquet, bien cambrée, yeux vers le plafond... « Voilà, c’est comme ça » se dit-elle, soudain fière d’arriver à passer outre sa pudeur.
    
    — C’est bien, ma fille. Ouvre la bouche, suce mes doigts... Non, ne ferme pas les yeux : tu peux me regarder, maintenant. Ne bouge plus, je vais chercher de quoi te harnacher.
    
    Lenoir revint quelques longues minutes plus tard, satisfait de voir que la jeune fille n’avait pas bougé. Se tenant derrière elle, il admira ses petites fesses bien rondes et musclées, sa taille fine qui faisait ressortir de jolies hanches. Elle tremblait de manière imperceptible en se sachant si vulnérable sous le regard de prédateur de son père. Elle tressaillit et retint un cri quand il referma une attache en cuir autour de sa cheville gauche, l’assujettissant avec un petit cadenas. Il fit de même pour l’autre cheville, puis lui demanda d’écarter les bras à l’horizontale ; il put ainsi fixer de lourds bracelets à ses poignets avant de passer un épais collier de cuir à son cou gracile.
    
    — C’est bon ?
    
    — Oui. Oui Monsieur.
    
    Une claque sèche sur la fesse droite lui arracha un geignement surpris.
    
    — La politesse, toujours, sinon je te punirai. Compris ?
    
    — Oui, Monsieur. Pardon, Monsieur, renifla la jeune fille.
    
    — Je vais t’apprendre plusieurs positions de soumission. Tu vas les mémoriser ; tu as une heure pour cela. Et d’ici midi tu recevras dix coups toutes les vingt minutes. ...