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Mon beau-père fait mon éducation sexuelle. (8)
Datte: 12/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
... Ah ! La fougue et la vitalité de la jeunesse !!! Il nous fait nous relever et je réalise que je suis plus grande que lui. Par rapport aux deux autres hommes, il doit bien faire une tête de moins rendant encore plus incroyable la proportion de sa verge. Il m’embrasse dans le cou, ses baisers descendent sur mes seins beaucoup plus volumineux que ceux d’Ingrid puis mon ventre avant que sa bouche ne se pose sur mon sexe. Ses mains habiles remontent sur mes seins, les malaxant pour les faire durcir et redescendent ensuite vers mon entrejambe, effleurant mon petit bouton plusieurs fois. L’excitation ne me quitte plus et mon sexe se lubrifie encore annonçant un nouveau point de non-retour. Je me laisse aller sur le lit, il revient à la charge et je retrouve dans ses gestes la douceur des caresses de Jean. Sa langue commence à fouiller mon intimité pendant qu’Ingrid se charge de me prodiguer des caresses sur ma poitrine et de me faire goûter sa salive dans un baiser entre filles. Je sens une onde de plaisir irréversible monter en moi. Une véritable explosion de plaisir vrille mon corps. Soudain Monsieur Jean donne de nouveaux ordres : — Ingrid ! Attache Claude et fais voir à Lucie comment se servir des accessoires fixés au lit ! En servante dévouée à son maître, elle étend Claude sur le lit et fixe l’extrémité de ses quatre membres aux montants du lit puis détache des anneaux du toit de lit et les laisse pendre avant de me suggérer : — Regarde et observe bien ...
... comment je fais puis ce sera ton tour, je ne te demanderai pour l’instant que de tenir sa verge à la verticale, pour le reste, je te fais confiance... Le bout du gland touche pratiquement la poitrine du jeune homme, je me saisis avec précaution de la hampe à deux mains et la redresse, mes doigts sont loin d’en faire le tour. Ingrid s’est assise sur son ventre, les jambes allongées contre les siennes, elle se saisit des anneaux et se hisse à la force des bras. — Vise bien Lucie ! Elle se laisse redescendre et s’empale sur le pieu dantesque telle une suppliciée du comte Dracula. Ses grandes lèvres en forme d’ailes de papillon sont entraînées par le pal formant une dépression sous la poussée inexorable de cet obélisque. J’ai mon visage à moins de vingt centimètres de cet incroyable spectacle quand, à la force des bras, elle se soulève avant qu’il ne la déchire, la peau tendre de sa vulve suit le sens inverse et épouse sur plus de deux centimètres le chibre si épais. Son coquillage passant de cratère profond au volcan à la chambre magmatique complètement obstruée par le braquemart de Claude. Je profite de chaque occasion où elle « déchausse » pour enduire de ma salive la teub et en goûter les sécrétions intimes des deux protagonistes avant de réaligner le missile et la cible. L’exercice est assez fatigant pour la femme et elle me demande de la relayer. Je prends la position et descends à mon tour au-devant du braquemart tenu par Ingrid. Heureusement que depuis ...