1. Mon beau-père fait mon éducation sexuelle. (8)


    Datte: 12/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    Beau-papaChapitre 8Lucie découvre que Claude est un véritable Etalon.
    
    Mais plus je m’applique, plus je sens croître et grossir ce pal, je dois reculer mon visage de son bas-ventre contrainte et forcée car son organe atteint une taille considérable, je peux même poser mes deux mains sur la hampe sans pour cela arrêter de la sucer. Quel chibre !!!
    
    — Retire-lui son bandeau Ingrid !
    
    Suite :
    
    Je vois enfin l’heureux possesseur de cette poutre hors-norme. Je suis stupéfaite en découvrant le jeune homme malingre, d’une stature mince, presque délicat, qui était assis dans le fauteuil.
    
    Je réalise soudain que ce que tenait dans sa main Monsieur Paul devait être cette queue monstrueuse qui sortait de la poche trouée de son jeune voisin !
    
    L’instant de surprise passé, je m’installe confortablement entre ses cuisses et reprends ma fellation, observant du coin de l’œil ses réactions qui ne tardent pas, il m’encourage :
    
    — Continue ! Tu suces très bien... Ingrid, lèche mes bourses en même temps, j’adore ça...
    
    Nous nous appliquons encore plus, répondant à ses souhaits, les devançant même. Nous nous mettons face à face la bouche collée sur sa verge qu’il fait glisser entre nos lèvres. Ma langue parcourt son sexe de bas en haut, s’attardant sur ses bourses.
    
    Je le reprends en bouche, il s’agrippe à mes cheveux et ondule du bassin accompagnant mes mouvements de tête de ses mains mais je ne peux en supporter qu’une infime partie, crachant et m’étouffant quand il essaie ...
    ... d’aller plus loin.
    
    Déçu, il présente son engin à Ingrid qui sous ses airs d’innocence m’a l’air d’une sacrée salope.
    
    A chaque coup de reins, il s’enfonce un peu plus loin arrivant presque à coller les lèvres d’Ingrid contre son bas-ventre.
    
    Mais comment peut-elle faire ça sans cracher tripes et boyaux ?
    
    Pendant des minutes interminables, nous nous escrimons sur son sabre quand enfin il m’ordonne d’un ton autoritaire:
    
    — Suce-moi... je veux jouir dans ta bouche !
    
    Tout excitée, j’ouvre la bouche et me jette sur son sexe tout en le caressant et pétrissant ses bourses.
    
    — Ooouuuiii... c’est bon !!!! Aaahhh ! Tu suces comme une pro... je vais jouir... continuuueee !! Ne t’arrête surtout pas !!!... arrrrrrhhh !!!
    
    Des spasmes secouent sa verge et un peu de sperme s’écoule sur ma langue. Mais la suite de son éjaculation est si dantesque, sa jouissance si abondante que je ne peux en avaler qu’une infime partie avant de le repousser de toutes mes forces en toussant. Il prend alors sa verge en main et se branle pour entretenir la plus formidable éjaculation qu’il m’a été donné de voir. Des jets continuent de sortir du méat qu’il dirige vers nos visages, les recouvrant de foutre. Jamais vu ça !
    
    J’entends comme dans un état second Monsieur Paul faire ses commentaires à Jean :
    
    — Pas mal hein ? Il bat tous les records. Mais tu n’as encore rien vu !
    
    Mais moi, je vois !!! Je vois que malgré sa jouissance, cette tige pharaonique ne baisse pratiquement pas la tête. ...
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