0209 Le matin d’après.
Datte: 26/06/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... un jour parce que mon t-shirt était taché de son sperme), à son t-shirt et à son boxer (que j’ai piqués un jour dans sa corbeille à linge) et qui sont toujours chez moi.
« Il te va ? » il me demande.
« Très bien… merci… ».
« De toute façon, je n’en ai pas d’autres… par contre, je n’ai pas de boots… » fait-il, tout en chaussant les siens « mais je pense que Charlène va pouvoir t’en prêter… ».
Sacré pantalon d’équitation : le tissu élastique épouse diaboliquement ses fesses rebondies et ses cuisses musclées, alors que la taille, bien basse, laisse dépasser un bout de pli de l’aine, et dévoile tout le développement du chemin de petits poils en dessous de son nombril, jusqu’à la lisière des poils pubiens. Et puis, il y a ce torse nu, sculpté, tatoué, fraichement douché, qui s’affiche de façon à la fois tellement naturelle et terriblement insolente au-dessus de ce pantalon : voilà une tenue à me rendre dingue.
Et lorsque le bogoss, désormais positionné de dos par rapport à moi, se laisse aller à ce geste, le plus naturel du monde, de s’étirer – il lève et plie les bras, il met en tension les muscles de son dos, ce qui a pour conséquence immédiate de faire gonfler le haut de son torse et ses biceps de façon très spectaculaire – je ne peux m’empêcher de m’approcher de lui, de passer mes bras autour de sa taille, de le serrer très fort contre moi, de couvrir son cou et ses épaules de bisous à la fois doux et sensuels.
Je suis moi aussi torse nu, et le contact ...
... avec sa peau tiède, fraîchement douchée et parfumée, me fait bander sur le champ. J’ai encore envie de lui. Comme dans un état second, je laisse mes mains glisser lentement sur ses abdos, les bouts de mes doigts se faufiler à l’intérieur de son pantalon d’équitation. Mon index effleure le bout de son gland.
« Euh… tu fais quoi, là ? » il lâche, la voix marquée par un frisson d’excitation.
« J’ai encore envie de toi… ».
« On n’a pas le temps… on doit y aller… ».
« Je sais… mais tu me fais trop envie… ».
Le bogoss se retourne, il pose ses mains de part et d’autre de mon visage, il m’embrasse fougueusement et il me chuchote :
« Moi aussi j’ai envie de toi… on se rattrapera plus tard, ok ? Tu ne perds rien pour attendre… ».
« Hummmm… ça promet… ».
Un petit sourire lubrique, accompagné d’un clin d’œil plein de malice est son dernier « mot ».
Jérém complète sa tenue par un t-shirt sans manches gris du meilleur effet. Certes, le fait de cacher une telle perfection masculine sous un bout de tissu pourrait être considéré comme un délit ; un délit qui peut cependant se prévaloir des circonstances atténuantes, comme par exemple la façon dont il laisse dépasser le rebondi de l’épaule et du biceps, ou la façon dont il met en valeur la plastique qu’il est censé dissimuler, en aimantant le regard, en enflammant les désirs. Ah, putain qu’est-ce qu’il est sexy dans cette tenue, mon bobrun !
Le pull à capuche gris de nos retrouvailles vient couvrir ses bras et ses ...