1. La première année en faculté de médecine du Mâle dominant. 3


    Datte: 27/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... ».
    
    Le souffle de Claude devient plus régulier, il a les yeux clos. Mais c’est sans compter les trois chaudasses pas encore passées à la casserole…
    
    Elisa et Evelyne se sont accroupies de chaque coté de son corps et couvrent son torse de baisers pendant que Sandrine s’est glissée entre ses cuisses pour masser les sacs collés à cette verge à moitié bandée.
    
    Elles continuent à exciter le mâle et Sandrine assiste au miracle en voyant se redresser la queue qui frotte sur la cuisse gauche de Claude avant de venir battre son bas-ventre, surprise d’une si rapide récupération. Mais avant de tenter de s’introduire la monstrueuse bite dans sa moule, elle broute le jonc vigoureux aux odeurs de chattes et de trou du cul.
    
    Mais Sandrine ne peut plus résister à son envie, elle retire vivement sa bouche et se met à califourchon sur le pieu énorme de Claude, écartant le plus largement possible les lèvres de sa vulve se demandant si son vagin peut accueillir un tel engin.
    
    Perdant toute raison, elle enfourne dans ses entrailles petit à petit le gourdin, s’empalant plus que de raison sur la verge en poussant des petits ...
    ... cris de douleur. L’engin dévaste inexorablement ses muqueuses, soudain elle s’affale dans un cri inhumain, empalée jusqu’à la garde sur la verge.
    
    Après un instant d’adaptation, elle se démène sur cet axe comme un cow-boy sur un mustang sauvage. Elle hurle, bave, sanglote d'un plaisir hystérique, son corps couvert de sueur. Elle se contorsionne frénétiquement comme une anguille quand la jouissance la convulse.
    
    Une écume mousseuse pointe aux coins de ses lèvres entre-ouvertes.
    
    Des rires hystériques, des sanglots et des hurlements stridents se succèdent, Sandrine jouit sans discontinuer de tout son corps supplicié par elle-même, jusqu’à l’évanouissement qui la laisse pantelante contre le corps de Claude.
    
    Lui ne se préoccupe même pas de se qui se passe, trop occupé à brouter la chatte d’Elisa, aspirant le clitoris, les doigts fourrageant la splendide toison, arrachant un frémissement à sa victime consentante. La langue se promène dessus, disjoignant les grandes lèvres, s’enfonçant dans l’intimité bouleversée, gobant le bourgeon dans sa cachette de velours pour entreprendre une succion irrésistible.
    
    A suivre… 
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